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Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)
Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... toi (elle passa sa main libre dans mes cheveux et replia davantage ses jambes en respirant intensément) ne dis rien, regarde-moi. Lui ordonnai-je. Ma langue se noya dans les profondeurs de son orifice et mes lèvres, trempées de son plaisir, s’accolèrent au sommet de sa vulve. Ses doigts broyaient les miens et à en voir son visage crispé, Véronique se contenait pour ne pas jouir immédiatement. J’avais également appliqué mes cinq doigts en éventail sur son ventre, afin d’y exercer une pression régulière. Désormais, je suçais le sexe délicieux de ma tante à près de quatre heures du mat’ et pour illustrer notre complicité presque inexplicable, elle conservait son regard posé sur moi, durant cet acte hautement intime. — Oooh Patrick...(posément, ma langue se coula dans son vagin et frétilla entre ses muqueuses) oui... ouiii (sous son visage inquiet, ma bouche s’accola à sa vulve et aspira ses grandes lèvres, puis les petites) humm... tu m’excites... hummm (en lui introduisant mon majeur dans sa fente, je l’entraînai vers le point de non-retour) tu m’excites... tu m’excites !... hann (parcourue par un premier frisson, ma grande blonde ouvrit la bouche et tendit l’ensemble de ses muscles) Hm... hmm...(elle contracta son ventre à l’horizontale alors que ma langue festoyait dorénavant sur la crête de sa source)... Patrick !... hmm... hmmm... Grogna-t-elle en parvenant à se maintenir sur ses coudes, tout en froissant les draps avec ses doigts d’une main. Mon attitude ...
... réservée contrastait avec la sienne et tel un animal, je lapais studieusement le liquide s’échappant de sa source, en lui adressant un sourire. Prise dans le tourbillon d’un plaisir no limit, elle me serra la tête entre ses cuisses, ferma les yeux et gonfla les joues intensément. Immobile, ses paupières closes donnaient à son visage sans regard une apparence de statue. Mon Dieu, qu’elle pouvait être belle dans cet état, pensai-je. Véronique recouvra ses esprits en haussant les sourcils, puis décroisa ses doigts des miens et m’observa l’abandonner pour mieux me dresser face à elle. Relâchée, sa respiration n’en demeurait pas moins ardente et dans une luminosité restreinte, j’avais posté ma verge aux veines saillantes à l’entrée de sa fente. — Toi alors... Me souffla-t-elle avec un ton navré. — Oui je sais. Rajoutai-je, en cachant mon enthousiasme à l’idée de la baiser à cette heure matinale. Nous étions dans le moment fatidique, moment durant lequel, en principe, elle allait me reprocher mon attentisme et me faire part de ses scrupules à être toute nue, devant son propre neveu. Bien au contraire, elle me transperça avec ses yeux bleus et écarta les cuisses affichant clairement sa volonté de s’accoupler avec moi. Percevant mon étonnement, elle tendit ses bras à mon encontre et me conforta dans sa démarche audacieuse. — J’en ai envie autant que toi, alors viens en moi (dans un silence de cathédrale, le grand mâle tutoya ses lèvres roses et s’engagea dans son orifice) ...