1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... âge. Elle s’habillait classique, mais avec une pointe de fantaisie lui conférant un style plus au moins sportif. J’aimais cette nana et je ne me lassais pas de la regarder, de la contempler. Je l’imaginais dans dix ans avec seulement quelques petits cernes supplémentaires, renforçant son charme. Elle n’avait pas de souci à se faire concernant sa silhouette en x, je l’avais toujours connue ainsi depuis tout petit.
    
    Elle s’en aperçut et me fit un sourire, le sourire d’une femme heureuse et surtout amoureuse.
    
    Je n’oubliais pas ce qu’elle m’avait déclaré, une fois notre éteinte terminée de ce matin. Elle m’avait tout simplement balancé que je pouvais la baiser quand ça me chantait, et ce jusqu’à jeudi. En effet, elle était dans la phase propice de fécondation durant quatre à cinq jours. Cette fameuse phase avait débuté dès ce samedi, nous n’étions que lundi et je n’allais pas me priver d’une telle aubaine.
    
    Sur le moment, entendre une telle chose sortir de sa bouche ne lui ressemblait guère, mais son désir ardent d’avoir un enfant l’autorisait à outrepasser sa morale, quitte à employer un vocabulaire cru. De ce côté, j’avais noté quelques progrès, même si Véro se défendait d’utiliser des termes qualifiés de vulgaires, contrairement à moi qui en usais régulièrement.
    
    Pour en revenir à sa proposition, je n’avais rien laissé paraître, mais en secret, une réjouissance m’habitait. Certes, je n’allais pas faire un signe de la main ou un claquement de doigts pour lui indiquer ...
    ... la chambre à coucher. Je me devais de rester mesuré dans mon approche, même si le terrain m’était déjà conquis par avance.
    
    A vrai dire, ce qui m’excitait le plus, c’était de voir ma tante, belle à croquer, élégante et raffinée et savoir que je pouvais me la faire quand j’allais le décider. Cette femme était un pur régal, mon pur régal personnel.
    
    De retour chez nous, je déposai la valise dans notre chambre tandis que ma douce compagne s’affaira en cuisine, pour y décongeler un plat préparé.
    
    Contrairement à ses dires, elle avait omis de se changer et avait conservé sa jupe ainsi que ses escarpins. La décongélation étant d’une vingtaine de minutes, nous avions grandement le temps de prendre un apéritif. Ayant terminé de mettre la table, elle ôta son tablier et se passa les mains dans les cheveux. Ses lèvres si bien dessinées dégageaient une sensualité rare avec l’absence de maquillage.
    
    — Patrick, tu prends un petit verre de rosé avec moi ? En se penchant vers le placard du haut pour y prendre deux verres, j’admirai ou plutôt je devinai sa paire de fesses bien moulée dans sa jupe.
    
    — Volontiers, je débouche la bouteille et mets-toi à l’aise. Lui suggérai-je en ouvrant le réfrigérateur puis en prenant un tire-bouchon.
    
    — Mais je suis à l’aise (elle partit avec le plateau vers le salon) viens me rejoindre, qu’on bavarde un peu tous les deux. Me lança-t-elle, toujours aussi affolante de derrière.
    
    — Ce matin, je ne t’ai rien dit à propos de tes bas, tout comme le ...
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