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Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)
Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... port, possédait un potentiel réel pour envisager de déloger le siège social parisien. Je m’étais fourré dans une situation périlleuse et je me devais sous peu de leur prouver mes ambitions, mes compétences en mettant sous pression mes collaborateurs. En tournant la clef de la serrure, l’odeur du gratin attisa mes sens et en fermant la porte, j’entendis le son d’une émission télévisée dans le salon. Véronique, assise, feuilletait un magazine, confortablement installée dans le fauteuil. Uniquement vêtue de son haut de pyjama descendant à mi-cuisses, elle stoppa sa lecture et coupa le son de l’émission en cours. Elle se leva, affichant crânement sa dégaine sexy, arbora un large sourire et me déclara son enthousiasme. — T’es pile à l’heure...(je lui confisquai sa veste et elle s’allongea tout naturellement sur le divan) j’espère que tu n’es pas fatigué et que tu as passé une bonne journée (exhibant sa plastique irrésistible, elle se caressa le ventre érotiquement) tu ferais bien de te déshabiller, j’attends ce moment depuis ce matin. Me déclara-t-elle en disposant un coussin derrière la tête, me signifiant ainsi son souhait d’être consommée sur place. — Depuis ce matin ! Ou alors tu es folle de sexe ou alors tu es folle de moi. — Tu m’as rendue folle de toi (elle m’observa en ôtant mes vêtements et une fois nue, elle me complimenta) j’en ai de la chance de plaire à un beau garçon de ton âge, enfin, si je me rappelle bien, tu es attiré par les femmes mûres. ...
... M’affirma-t-elle. — Erreur, je suis attiré par toi, par tout ce que tu représentes et maintenant, laisse-toi faire. — Et comment je vais me laisser faire ! (en me voyant m’agenouiller, elle s’adossa au canapé et replia ses longues jambes) han... quand je vois ton regard, je devine déjà ce que tu as en tête ! s’exclama-t-elle en écartant ses cuisses et en me souriant sans cesse. Nous avions eu réellement faim l’un de l’autre, une faim à l’apparence physique surtout. Nous nous plaisions, le verbe étant faible et nous vivions une liaison passionnée, entachée par le péché de notre consanguinité. Nous échangeâmes quelques mots, puis Véro attrapa ses vêtements, décidant de monter pour se changer et faire un brin de toilette. En l’observant partir, je matai sa paire de fesses et sa chute de reins. Je ne rêvais pas, ma tante avait beau filer sur ses 45 ans, elle restait super bien gaulée. Elle avait un cul infernal, le plus beau que je n’avais jamais vu. Ses guiboles n’arrangeaient rien à l’affaire, fines et parfaitement galbées, et sa paire de seins, qu’elle trouvait à son goût trop petite me convenait parfaitement. Un rien l’habillait et nous nagions purement et simplement en plein bonheur. A son retour, elle se présenta tout bonnement en tee-shirt et s’assit face à moi, sans me demander mon avis. Les cheveux encore mouillés, elle endossa le costume de l’indifférence pour susciter, voire attiser ma curiosité. Je tombai dans ce piège si séduisant, tout en l’invitant à ...