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Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)
Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... fort !... aah oui... hann !...(elle me caressa la nuque en me serrant contre elle, pour me signifier qu’elle s’abandonnait totalement) Patrick... ooh oui... ouiii... S’emporta-t-elle sous les charges continues de mon sexe rageur. Affalée sur le divan, elle avait baissé la garde, synonyme d’un lâcher-prise tant attendu. Je me glorifiais de l’entendre gémir, de s’étouffer et je l’observais s’épanouir dans des gestes révélateurs. Sans cesse, elle échangeait des baisers afin de se sentir encore plus proche dans notre accouplement. Elle avait mis au rencart notre relation incestueuse et me considérait comme son mec. Le lâcher-prise opéra de manière inattendue. — Hann... Patrick ! Patrick ! (opérant des pénétrations brutales, j’avais enflammé considérablement ma grande blonde) hrrr... j’aime bordel ! (elle m’attira vers elle pour me rouler un long patin) hum je sens que tu viens...(son jeune étalon lui porta la première estocade, lui provoquant une vive émotion) ah oui... oui... ouii ! s’écria-t-elle, emportée par mes coups de butoirs. — Oooh...(je ne contrôlais plus mon corps devenu raide dans ce coït soutenu) oh nom de dieu ! m’exclamai-je à mon tour en me dressant entre ses cuisses. — Hann... hannn !... hannnn ! (Véronique jouissait pleinement avec mon sexe s’entêtant à buter au fin fond de sa fente) hrrr... hrrrr... oui... comme ça... continue...(elle me maintenait les hanches et m’incitait à la féconder sans modération) oui... ne t’arrête plus... c’est bon... ...
... han que c’est bon...(ma belle quadra n’en pouvait plus et ne cessait de clamer sa béatitude) ô seigneur ! tu viens, je sens que tu viens !... j’aime... j’aime tant...(pantelante, elle laissa son jeune étalon évacuer sa semence au fond de sa source)... continue... han oui... embrasse-moi, embrasse-moi. Répéta-t-elle, gavée sexuellement. En enroulant ma langue à la sienne, elle conserva ses mains sur mes flancs, preuve qu’elle désirait prolonger notre étreinte. Son jeune chiot poursuivit quelques va-et-vient bien paresseux et jugea utile de se retirer de son orifice ardent, le tout sous le sourire de sa conquête. L’histoire aurait dû s’arrêter là. Véronique avait replié ses jambes en me regardant m’habiller, puis elle se gratta le menton en m’adressant des louanges d’une manière surprenante. — Après ce que tu viens de me faire, tu peux être sûr que demain matin, je me lèverai en même temps que toi ! (en s’abstenant d’employer des mots crus, elle les remplaça par un large sous-entendu) dis, tu ne veux pas prendre une douche Patrick ? — Non, t’as vu l’heure, je suis à la bourre (j’enfilai ma chemise sans prêter attention à ma quadra) il faut que je file. — Tu fais attention sur la route et ce soir, je t’attendrai. — Bah oui, tu m’attendras ! lui répliquai-je. — Oui, mais je serai sur le canapé avec ma veste de pyjama et rien d’autre (quelque peu surpris, je marquai une pause) roo... tu veux que je te fasse un dessin ou quoi ? En me posant la question, elle ...