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Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)
Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... que tu oublies qui tu es, ça t’éviterait ce sentiment de culpabilité qui te taraude. Lui énonçai-je calmement. — C’est pas évident ce que tu me demandes et qu’est-ce que je dois faire pour ça ? s’enquit-elle pour mieux comprendre. — Commence par ton vocabulaire par exemple et évite les sous-entendus, si t’as envie d’un gros câlin, dis-le carrément et ça te mettra en confiance (sous son regard interrogatif, j’avais stabilisé ma main sous son sein à la peau moelleuse) si par exemple je te dis que là, maintenant, j’ai très envie de te sauter Véro, t’as pas à être surprise, c’est simplement plus direct. — Ah d’accord... tu veux que je parle comme un charretier ! tu me trouves coincée si je comprends bien (elle se redressa davantage et déboutonna elle-même sa veste afin de me prouver le contraire) depuis qu’on est ensemble, j’ai déjà parlé ainsi, surtout quand on fait l’amour (elle prit son ton enfantin) tiens, regarde ! j’ai ouvert mon pyjama et là, ne me dis pas que je suis coincée, tu peux voir mes seins. Argumenta-t-elle légitimement, en tenant les pans de sa veste et en arborant ainsi la moitié de son anatomie dénudée. — Mais t’es pas coincée, mélange pas tout (en observant son buste, je lui adressai un compliment concernant sa poitrine) tu les trouves trop petits, ils sont fermes, vigoureux et dans dix ans, ils seront toujours aussi beaux. — Jacques m’a dit la même chose un jour, mais dans dix ans, j’aurai 55 ans tout de même et ma silhouette sera différente, ...
... faut pas rêver. M’affirma-t-elle. Je soupesai son sein droit, puis le gauche dans un silence total. Elle me laissa la peloter en retenant son souffle. Sa pudeur maladive reprit le dessus et elle jugea son attitude trop libertine vis-à-vis de son jeune neveu. Ainsi, elle relâcha sa veste et poursuivit notre conversation en m’avouant les difficultés qui l’attendaient. — Bah ça va pas être facile, c’est pas mon style d’employer des grossièretés (en voulant retirer ma main, elle saisit mon poignet avec énergie) non, non, continue, en plus ça me détend...... mais j’y pense, pendant qu’on y est, je pourrais aussi me balader à poil toute la journée et ça ne te déplairait de me voir déambuler les fesses à l’air. Me rétorqua-t-elle avec la mine boudeuse. — Oh tout de suite la provoc’... si tu m’écoutes, ça te permettra justement d’être à poil devant moi sans baisser les yeux, de faire face aux réalités (elle devint très attentive à mes propos) Véronique, j’ai jamais été aussi proche d’une femme et je veux tout partager, tes peines, tes joies, je veux te voir libre. Lui déclarai-je en lui frottant le dos. — Me voir libre ? pfff... quand je vois mes relations avec ta mère, elle ne m’adresse plus la parole et ça me rend malade, même si je te dis que je m’en fous (téméraire, j’osai enveloppé son sein entièrement, lequel commença à manifester une arrogance certaine sous mes stimulations) n’oublie pas tes parents, ils comptent pour toi, pour ton équilibre et tu ne peux pas tout ...