1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (37)


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Bruce75, Source: Xstory

    ... la revois encore dans sa robe de chambre avec une jambe croisée, dépossédée de son chausson et qui se balançait dans le vide. J’étais tombé ainsi raide dingue de ses pieds fins et soignés. Ils représentaient le reflet de l’interdit absolu et je me remémorais cette phrase des vendeuses, dans les magasins de jouets - on touche avec les yeux- disaient-elles d’un ton glacial.
    
    Ce soir-là, les vendeuses avaient disparu. Je pouvais les toucher, les caresser et Véro ne s’imaginait pas une seule seconde ce que cela représentait pour moi. Force fut de reconnaître que ma démarche s’assimilait à celle de l’ado aux pulsions refoulées et je plaidais coupable de ce comportement puéril, en m’accordant les circonstances atténuantes.
    
    Ma belle quadra avait pris place dans mon esprit sur l’autel de mes fantasmes les plus inaccessibles. Elle occupait confortablement la place de numéro un et son physique aidant, elle n’était pas prête de céder son fauteuil à une rivale, encore aurait-il fallu que celle-ci exista. Même si ledit fantasme avait été atteint, je ne parvenais pas à m’habituer à ses gestes quotidiens. En mettant de côté son sentiment de culpabilité, elle vivait avec moi et me surprenait en endossant son rôle de compagne vis-à-vis de moi. L’exemple de ce soir me paraissait flagrant. En effet, elle s’était indignée la première fois quand j’avais câliné cette extrémité de son anatomie, puis elle m’avait finalement avoué que dans cet acte autant inédit que surprenant, elle y prenait ...
    ... un certain plaisir. Elle-même m’accordait aisément les circonstances atténuantes, fière de prétendre à être la seule femme à qui je prodiguais ce genre de caresses.
    
    Mes yeux s’étaient détachés de l’écran pour s’ancrer sur ses orteils. Le scénario se déroulait toujours de la même manière pour chacun de ses pieds. Après avoir multiplié les caresses, je le portais à hauteur de mon nez et j’effleurais des lèvres le bout de ses ongles. Je frottais sa voûte plantaire contre ma joue et enfin je les couvrais de baisers. La peau si douce du dessus de ses orteils m’envoûtait et sous le regard enjoué de la propriétaire, j’ouvrais ma bouche en les aspirant un par un. Ensuite, j’organisais un rassemblement général pour enfin les sucer tous ensemble. Tel un ogre rassasié, je les conservais précieusement entre mes mains, en les enveloppant. Je recommençais la même opération pour le second. Ainsi, j’avais passé ma soirée à humer, à lécher les pieds de ma tante en prenant un plaisir no limit.
    
    — Patrick, le film te plaît ?... Parce que tu m’as l’air bien occupé. Me dit-elle en observant avec quelle délicatesse je prenais soin de son anatomie.
    
    — Oui, t’inquiète, c’est pas mal et ils jouent bien tous les deux (je dispensai une grande caresse sur l’une de ses chevilles) et toi, ça va ?
    
    — Je ne me plains pas. Répondit-elle d’un air ravi.
    
    Mais durant une pause publicitaire, Véronique délaissa le film en croisant ses bras sous la tête. Amusée par ce jeu érotique, elle endossa son rôle ...
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