1. Série l’adultère « Mickael » (Partie 31) : Carole veut se faire baiser. Saura-t-il résister ?. Partie 1/2


    Datte: 27/06/2023, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... disant : « Vas-y Micka prends-moi là, maintenant. » Me tendant son sexe, j’appréciai sa fine toison claire sur son pubis, ma main passa sur sa fente, elle mouillait déjà. Tant qu’à faire, j’avais bien l’intention d’en profiter un maximum, je ne voulais pas la baiser comme un lapin.
    
    Je pris mon temps, je lui retirai la veste de son tailleur, la posa sur une chaise et défit un à un tous les boutons de son chemisier. Son soutien-gorge était très joli, tout en dentelle. Je sortis ses deux seins magnifiques de leur bonnet et tout en insinuant mon majeur dans sa petite chatte, je me mis à sucer ses tétons un à un. Ma masturbation la mettait dans un état second, elle gémissait fortement en secouant la tête, ses bras en arrière, ses mains ne parvenaient pas à s’accrocher au plan de travail. Elle se raidit en se relavant, m’agrippa par les épaules et jouit sous mes doigts : « Oh Oui, c’est bon. »
    
    Je me couchai sur elle et nous étions embrassés le temps qu’elle reprenne ses esprits. Le moment était venu, je lui passai sa jambe droite sur mon épaule et présentai mon gland devant sa fente qui ruisselait encore. Sans plus attendre, je la pénétrai d’un seul coup, j’étais rentré facilement et je la labourais rudement, elle gémissait toujours, sa respiration s’accélérait et j’étais assez fier de la dominer car dans le travail je ne le pouvais pas et c’était l’occasion de prendre ma revanche. Lorsqu’elle me dit qu’elle allait venir, je me retirai :
    
    — Retourne-toi maintenant. Lui ...
    ... ordonnais-je.
    
    À présent, je le prenais par derrière, c’était pour moi un bon moyen de la soumettre. Elle criait, mes coups de boutoirs étaient à la limite de la brutalité mais cela n’avait pas l’air de lui déplaire car ses petits « Oui ! Oh Oui ! » elle les renouvelait en permanence. Je sentais monté en moi le désir, elle allait une nouvelle fois atteindre l’orgasme. Désirant la faire patienter encore, j’avais une nouvelle fois retiré ma verge turgescente et dure comme un bâton de sa chatte trempée. Je la fis mettre à quatre pattes au milieu de la cuisine, elle était entièrement à ma merci.
    
    Je l’astiquai avec mes deux doigts pendant de longues secondes et lorsqu’elle approchait de la jouissance, j’arrêtais. Elle était folle, me criait de la baiser, je voulais bien la faire attendre encore un peu plus, cependant je n’en pouvais plus non plus, il fallait que je me vide les couilles. Je m’étais mis à genoux derrière elle et l’avais prise comme une bête en lui triturant ses mamelons. Ce fut dans un concert de couinement, de petits cris et un grand râle que je m’étais déversé au plus profond de son vagin. Nous venions de jouir puissamment tous les deux en même temps. Nous nous étions couchés sur le parquet flottant « type pont de bateau » afin de récupérer :
    
    — C’était super Micka ! Bien mieux de ce que j’avais pu imaginer.
    
    — Merci Carole ! Tu as raison, c’était bien. Mais maintenant, j’aimerais que tu me promettes que tu me laisseras tranquille.
    
    Carole n’avait pas tout ...
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