Série l’adultère « Mickael » (Partie 31) : Carole veut se faire baiser. Saura-t-il résister ?. Partie 1/2
Datte: 27/06/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... répondis qu’elle était ravissante mais que ce n’était ni lieu, ni l’endroit pour faire ce genre de chose : « Ce soir chez-moi alors ? » Insista-elle :
— Je suis vraiment désolé Mlle T mais je suis marié enfin !
Vu la tête que fit Carole lorsqu’elle tourna les talons et descendit l’escalier, il n’y avait aucun doute, je l’avais fâchée. En y réfléchissant toute la semaine, je me disais qu’il n’y avait que moi pour refuser ses avances car il était évident que cette super nana se serait faite culbuter par le premier type ayant eu cette chance. Cependant, elle ne s’était pas plainte à mon patron, c’était un peu ce que je craignais avant de la revoir le mardi suivant. Malgré cela, lorsque je l’avais vu déboulée le lundi à midi moins le quart, je m’étais mis à douter, j’étais persuadé qu’elle venait faire des reproches sur moi auprès de ma direction.
Mon appréhension retomba immédiatement quand je la vis entrer dans mon bureau, son visage éclairé par un large sourire en me regardant. Elle était restée debout les deux mains posées sur la plaque de verre et en me fixant dans les yeux, elle me dit de but en blanc :
— Écoute Mickael, nous nous connaissons depuis six mois et nous sommes du même âge, nous devrions nous tutoyer. Je tiens beaucoup à m’excuser, tu as dû me prendre pour une folle, mardi dernier. Je ne sais pas ce qui m’a prise ce jour-là mais ta réaction fut remarquable, tu es un homme bien. J’aimerais devenir ton amie. Si tu veux bien, pour me faire pardonner, ...
... je t’invite à déjeuner. S’il te plait ne me dis pas non cette fois.
Je restais sans voix, Carole était très belle, c’était la première fois que je la voyais sans un surplus de maquillage. Je ne savais pas quoi répondre, ces propos m’avaient touché. Pourtant désirant lui donner une leçon, j’avais l’intention de lui refuser. Malgré cela, s’apercevant que je ne prenais pas de décision, lorsqu’elle passa derrière moi me posant sa main sur mon épaule en insistant : « Allez Micka dit oui. » je fus presque dans l’obligation de répondre dans l’affirmative. Elle me fit une bise sur la joue et me dit : « Tu es trop chou. Viens je t’emmène dans un petit bouchon lyonnais. »
J’avais pensé qu’elle me lancerait de nouvelles brandilles mais nous n’avons parlé pendant le repas que de travail et notamment des délais. Le chantier était en cours de finitions et il restait encore au moins trois mois de travaux. J’avais appris que tous les meublés sans exception, devaient être loués qu’à des étudiantes et que Carole avait déjà rempli les trois quarts de l’immeuble par des jeunes filles de bonnes familles et qu’elle n’aurait aucune difficulté à louer le reste car elle avait son carnet de demande rempli :
— Ce n’est qu’une question de temps, j’ai douze candidates pour quatre studios. Par contre je suis à la recherche d’une gardienne d’immeuble et je n’arrive pas à me décider.
Je ne lui avais pas dit que cela pouvait nous intéresser, Josiane venait de perdre son emploi et résidants dans un ...