Ma conquête sexuelle de la France… (1)
Datte: 26/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: groszeb, Source: Xstory
Je me présente : Je suis Aymen, Marocain, bien membré 21 cm/6 cm, circoncis (photo du profil réelle). Très endurant, pour ne pas dire infatigable. Tout ce que vous allez lire, est la stricte vérité. Uniquement, tous les noms propres ont été changés… J’attends vos commentaires… Bonne lecture… Bon plaisir, à chacune avant chacun.
Mon bac en poche, avec mention très bien, je m’apprête à partir pour la France, dans le but de continuer mes études, tant ma pré-inscription est faite, avec accord favorable. J’ai tellement insisté auprès de ma marraine(bisexuelle et salope, une série d’histoire lui sera consacrée), pour gagner Paris, en juillet, sous prétexte de bien connaitre le pays, et surtout pour travailler un peu, et gagner assez d’argent, pour mener une vie respectable, tant ma marraine ne peut subvenir à tous les besoins du jeune homme que je suis. De peur que je me perde France, elle insiste auprès d’un cousin à elle, qui travaille en France, et est venu avec sa famille pour passer les vacances au pays, qu’il m’emmène avec lui. Ce cousin, riche comme Crésus et plus avare que Picsou (pour les amateurs des bandes dessinées) refuse en premier, prétextant habiter à Marseille, «qui est très loin de Paris». Ma Marraine insiste tellement, et propose même qu’il me mette dans le premier train en direction de Paris. Quelques cadeaux, ont fait office de sésame, et son cœur s’est attendri.
Le jour du départ, la malle se ferme difficilement. Le porte-bagage à la limite de ce que ...
... préconise le Code de la route. L’intérieur de la voiture est aussi comble à l’arrière, de quoi me laisser un espace tellement étroit. Ainsi, nous nous mettons en route en route…. Entre deux insultes gratuites, de l’état de la route, ou d’une voiture qui le dépasse, mon cousin, dans une joie très forte, crie tellement fort :
- Enfin des voisins !!!
- Quoi ?
Il me dit :
- Regarde… Regarde la matricule de ce camping-car.
Il me laisse quelques secondes, puis ajoute avec la même joie :
- 13, la même préfecture que moi… Bouches-du-Rhône…
Le silence reprend, me laissant le temps d’admirer ce camping-car, qui roule devant nous. Je n’ai jamais vu d’aussi grand.
- Ce camping-car rentre aussi au «pays», tant ce véhicule ne précède en direction de Tanger.
Le passage de la police et de la douane, marocaines, est rapidement accompli. Dans le ferry, la sortie de la voiture est plus qu’une obligation pour me dégourdir les jambes, tellement j’étais à l’étroit. Le camping-car est devant nous.
- Vous êtes à l’étroit dans cette «voiture».
Je me tourne, je vois à la fenêtre du camping-car une femme brune, la cinquantaine, cheveux noirs, qui fume une cigarette.
- Plus qu’à l’étroit, comme des boites de sardines.
Je constate qu’elle fixe entre mes jambes sans nullement se gêner. Elle a surement constaté que l’étroit bermudas ne peut contenir mon organe, qu’elle ne peut quitter de vue.
Je mets la main sur la bosse, et je dis avec provocation :
- On cherche à ...