Elena à genoux (9)
Datte: 25/06/2023,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... son visage et lui présenter sa queue. Elle mouillait en pensant à ce salopard bedonnant qui avait plus de deux fois son âge et qu’elle détestait profondément il y a encore quelques jours. L’altération de son jugement était telle qu’elle ne reconnut pas dans ce « gros porc » une reprise de l’insulte qu’elle avait proférée et qui aurait dû lui indiquer qu’il savait qui l’attendait sous ce bureau. Elle préférait se croire anonyme comme Elena le lui avait garanti.
Elle entendit Pierre défaire son ceinturon et son pantalon tomber sur ses chevilles. Il tira la chaise à roulettes et s’y installa, bassin en avant puis s’avança jambes écartées vers Sylvaine. La grosse bite à quelques centimètres de son nez était la troisième de sa vie qu’elle voyait d’aussi près. Elle eut une pensée fugitive pour son amoureux qui, la voyant partir très en beauté ce matin, lui avait donné un baiser plus appuyé que d’habitude.
— Qu’est-ce que t’attends pour sucer, salope, mon autorisation ?
Pierre envoya une petite stimulation aux boules de geisha, effaçant aussitôt la pensée pour le petit ami. Sylvaine emboucha la queue sans plus réfléchir et, comme elle l’avait fait avec le gode, l’avala aussi profondément que possible. La sensation de cette bite étrangère lui remplissant la bouche lui procurait un sentiment de soulagement, comme si elle obtenait enfin ce qu’elle attendait depuis ce matin, ou depuis hier, ou depuis qu’Elena lui en avait parlé en fait.
— Ahhhh putain, que ça fait du ...
... bien de se faire gober la bite par une truie. Allez vas-y toute seule comme une grande, sans les mains !
Des caméras cachées capables de filmer dans la pénombre capturaient la scène : Sylvaine qui suçait, léchait, avalait le membre de Pierre avec une gourmandise telle qu’elle n’en avait jamais osé en manifester auparavant, retenue jusqu’alors par les exigences de sa dignité féministe. Préservée par un anonymat imaginaire, elle savourait sans barrière cette queue ainsi que la situation dégradante à laquelle elle consentait. Habituée aux jambes presque glabres de son compagnon, elle caressait tendrement les cuisses velues du quinquagénaire, ses couilles bien compactes et la forêt de poils noirs en dessous.
— Oh bordel, tu suces presque aussi bien qu’Elena. Tu peux accélérer le mouvement pour voir ?
Sylvaine assura ses mains derrière les jambes de l’homme et se mit à aller et venir aussi rapidement qu’elle pu. Pierre caressait doucement la tête de la jeune fille, appréciant l’effort qu’elle fournissait, la flattant comme un maître flatte son chien. Enfin, attrapant la tête de la jeune fille, il l’attira à lui, franchissant la barrière des amygdales. Le visage enfoncé dans les plis gras et poilus du ventre de l’homme, Sylvaine n’osait se débattre en dépit d’un accès de panique. Jamais une bite n’était entrée aussi loin dans sa gorge.
— Les connasses dans ton genre ont tout à apprendre. Reste comme ça. Détends-toi, putain. Lààà, calme. Laisse-moi profiter de la ...