Mariage raté, la belle-famille s'en mêle (2)
Datte: 24/06/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Galaxie55, Source: Xstory
... un certain envoûtement. Je lui donnerais vingt-cinq ans tout au plus, elle est très mignonne je ne m’étais jamais attardé sur elle pourtant c’est une femme bien plus que désirable et mom membre à moitié érigé peut en témoigner. Je remarque en la détaillant précisément du regard, qu’elle porte des écouteurs partiellement cachés par ces cheveux lisses et noirs. M’ayant entre aperçus du coin de l’œil, elle se retourne en sursautant et me regarde de ses prunelles affolées.
— Pardon Mr Guerilo, je sais que je n’ai pas le droit de laver avec mon produit, mais la recette de votre femme ne sens vraiment pas bon et je suis obligé de frotter deux fois plus car il ne marche pas…
Elle me fait peine à voir à continuer de me fixer la peur au ventre. Ses lèvres pincées par cette anxiété, en train de s’installer doucement dans un silence pesant, tremblent légèrement et son cœur que j’entends pulser de si loin me glace le sang. Je ne voulais aucunement l’effrayer ainsi, mais tétanisé par sa peur je ne peux décocher un son, ni même esquisser un sourire de soulagement à la pensée de pouvoir avoir une allié de poids dans cette demeure. Puisse-t-elle avoir le même mépris que moi envers ma femme. Enfin ma mâchoire cimentée se dessoude et mon visage se détend, avec douceur je m’approche d’elle. Je ne connais même pas son nom et je ne la voyais qu’en coup de vent, hésitant même parfois à lui dire au revoir de peur que ma femme n’entende.
— Ne vous en faites pas pour ça ! Moi aussi je ...
... n’aime pas son odeur de vinaigre. En plus il ne marche pas c’est normal, ma femme l’a dilluer… c’est une recette de ma mère à la base pour "enlever les taches tenaces" qu’elle a modifié pour gagner trois copek.
— Merci, s’étouffe-t-elle à dire, en reprenant un semblant de convenance.
— J’ai pour tout vous dire un service à vous demander, pouvez-vous ne pas parler à ma femme des chaussures devant l’entrée ?
— Ho ça, sourie-t-elle, je l’avais déjà oublié !
— Merci, entre victimes de La Tyrannique on peut bien s’entraider.
Un rire nerveux me prend et emporte avec lui ma nouvelle complice. Après que nos pommettes rougies nous fassent mal, nous commençons une discussion nous emportant tous deux dans la cuisine avec une bière à la main.
— Alors trinquons, à ma femme qui a l’obligeance de ne pas être là !
— Santé Mr Guerilo !
— Pas de ça avec moi, nous buvons amicalement appelez-moi Grégory et sans le titre pompeux je vous en prie.
— Bien sûr, Grégory.
— Et vous, comment vous prénommez-vous ?
— je m’appelle Sabrina.
— Enchanté Sabrina, savez-vous à quel heure rentre ma femme?
— Ho et bien… habituellement juste avant vous, vers dix neuf heures trente.
— Comment ça, elle me dit qu’elle reste toute la journée à la maison à se faire chier et m’envoie bouler, quand je lui demande ce qu’elle a fait aujourd’hui.
— Moi elle me dit qu’elle rentre de la paroisse et elle a l’air sincère.
— De la paroisse, m’emporté-je, en frappant la bière sur la ...