Bénédicte, histoire d'une future soumise ouverte (13) - Histoires de Sexe

Bénédicte, histoire d'une future soumise ouverte (13)

Lundi soir, nous avons décidé de nous organiser une soirée mercredi pour le dernier jour avant le confinement, histoire de rendre ce moment moins triste. Une petite visio pour nous décider et le rendez-vous est pris, le lieu défini par les filles : mercredi soir chez moi « dans la maison de notre amant ». Je dois avouer que je suis flatté par ce choix et que je ne m’y suis bien sûr pas opposé. Béné aime bien organiser, du coup, elle prit le relais :

— On va faire simple, je vous propose MSC.

— MSC, c’est un nouveau cocktail ? Intervient Mel.

— Non, juste que le vendredi sans culotte ait avancé au mercredi.

Nadine d’une nature plus réservée surprit tout le monde :

— Parce que tu portes encore des dessous Béné ?

— Oui, surtout des shorty pour ne pas perdre mon rosebutt dans la rue, pas toi ?

— Dans la rue, pas tout le temps, et là je n’ai rien, regarde.

Elle releva sa jupe pour nous prouver qu’effectivement, c’était déjà VSC pour Nadine.

— Coquine, mais au fait, tu n’es pas chez toi ?

— Non, je reviens de course, je suis dans mon garage avec un bijou anal qui me chatouille le cul depuis deux heures et je dois avouer que j’ai bien envie de me prendre plus gros.

— Te prive pas, on te regarde. Lança Mel.

— J’ai comme l’impression que c’est un défi ?

— Non pas forcément, mais je dirais pas non pour t’admirer te faire plaisir.

— Attends un peu que je réfléchisse, faut dire qu’il y a pas grand-chose dans mon garage.

— J’ai bien une ...

... idée...

— Ah ! Je vois pas trop ?

— Tu pourrais t’enfiler le levier de vitesses.

— Oh oui, j’aime bien en plus la forme qu’il a.

— Comment ça tu aimes bien, tu l’as déjà essayé ?

— Bien sûr que oui, je me suis déjà bien prise avec, mais c’était à chaque fois ma petite chatte que j’empalais dessus, mon cul n’y a jamais goûté.

— Voilà ce qu’il te reste à faire ma soumise ! ordonna Béné.

— Oui maîtresse, je vais de ce pas m’installer.

Nadine trouva un endroit pour déposer son téléphone face au levier.

— Vous voyez bien les coquins ?

— Oui, enfin on voit bien le levier, mais c’est surtout ton cul qu’on veut voir !

— Patience maîtresse, mon cul arrive, je quitte ma jupe pour être plus à mon aise.

Quelques secondes plus tard, nous voyons Nadine entrer dans le champ, tenter de s’installer à cheval sur les sièges avant dos à nous.

— Nadine, tu n’aurais pas emprunté ce plug ?

— Si maîtresse, je l’aime bien celui-là. Il est agréable à porter pendant de longues heures.

— Je suis d’accord, allez enlève-le vite !

Nadine n’en faisant qu’à sa tête décida de nous faire languir et commença par se caresser, nous ne distinguions pas forcément tous les détails. Je me décidai à intervenir :

— Mais que fais-tu ?

— Je me caresse la chatte, en fait, je la sens toute mouillée depuis pas mal de temps et tout en faisant mes courses, j’ai tenté de me caresser dans les rayons. Malheureusement à chaque fois, il y avait une personne dans les rayons.

— Tu es ...