Sarah et son frère soumis à une mère abusive (3)
Datte: 23/06/2023,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Elisa M, Source: Xstory
... saisissant d’un de mes seins.
— C’est pour ça que tu es avec cette greluche ? demande-t-elle à Lucas en lui montrant ostensiblement ma poitrine. Pour ces morceaux de chair juvéniles ?
— Euh... bah, je... bafouille Lucas, qui ne sait pas quoi répondre à ça.
— Oui c’est ferme, c’est doux, poursuit-elle en pressant mon sein, ce qui me fait un peu mal. Mais est-ce vraiment mieux que ceux de ta maman ? Ils ne te suffisent pas ceux de ta maman ?
— Si, ils sont très bien ! se défend mon frère, dont le regard pétille quand même en regardant mes seins.
Si ma poitrine ne peut pas rivaliser en taille avec l’énormité de celle de Madame Lanfourne, j’ai pourtant toujours été très fière de mes seins. Je fais un bonnet C, ce qui s’accorde plutôt bien avec ma taille assez fine. 1m69 pour 58 kilos, il me semble qu’il n’y a pas grand-chose à redire ! Plus gros, mes seins deviendraient vulgaires et moins jolis.
Pour notre hôtesse, c’est différent. Certes, ses obus sont gigantesques, sans doute un bon E, mais il faut dire aussi qu’elle n’est pas mince. Sur elle ces mamelles rendent bien, parce qu’elles sont harmonieuses avec le reste.
Bref, nos deux poitrines ne sont pas réellement comparables, et j’imagine très bien ce que doit se dire mon frère, alors que son regard oscille de l’une à l’autre : à elle l’énorme poitrine toute maternelle, à moi les seins plus modestes, mais plus jolis. Le fantasme même de la mère et de la sœur dans les pornos !
— Tu veux les toucher ...
... peut-être ? demande Madame Lanfourne.
Là encore, je peux presque deviner chaque pensée de mon frère : il rêve de dire oui, c’est évident à son sourire lubrique et ses yeux exorbités. Mais, d’un autre côté, il est bien conscient du piège, alors il préfère jouer habilement et ne pas céder à ses pulsions plus primaires.
— Non maman c’est bon, je préfère les tiens, dit-il.
Hypocrite !
Mais il a raison, puisqu’un vaste sourire se dessine sur le visage de "maman". Ou bien elle est vraiment dupe, ou bien elle choisit de l’être.
Les gros doigts recouverts de bagues de Madame Lanfourne recommencent alors leur œuvre : elle fait cette fois descendre ma jupe et me laisse en petite culotte. Il s’agit d’une culotte rouge à dentelles, assortie au soutien-gorge qu’elle m’a déjà retiré. Je trouve l’ensemble très joli et très sexy, ce qui semble aussi être l’avis de Lucas, si j’en crois son regard. Malheureusement, notre hôtesse ne l’entend pas de cette oreille.
Elle prend le mince vêtement entre ses doigts, une moue dédaigneuse déformant ses traits, puis elle s’adresse à mon frère avec mépris :
— Regarde cette tenue de petite salope ! lâche-t-elle à son intention. C’est comme ça qu’elle te fait tourner la tête, j’imagine ? Avec ce genre de tenues indécentes ?
— Non maman. Je ne la regarde même pas !
Madame Lanfourne s’apaise un petit peu.
— C’est bien mon bébé, je suis fière de toi. Je connais ces petites traînées, il ne faut pas tomber dans leur jeu !
Résignée à ...