Retour à l'improviste (2)
Datte: 23/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: JVincent, Source: Xstory
... laborieux, mais, comme pour la fellation, elle y a pris goût au fil du temps. Elle obtient désormais des orgasmes extrêmement intenses dans certaines positions, en accompagnant cette pénétration bien lubrifiée d’une stimulation manuelle de son clitoris. Après plusieurs années de pratique, elle aime aussi que je la prenne par derrière sans préparation particulière en dehors d’une sommaire lubrification avec un peu de salive, à quatre pattes ou debout, pour une jouissance purement cérébrale. C’est pourquoi je n’hésite pas aujourd’hui.
Pas de mot d’arrêt et je sens Julie se détendre. La pression de son anneau à la base de mon gland se relâche un peu. Sa respiration est profonde, mais calme et régulière. Rassuré, je poursuis ma progression sans interruption jusqu’à ce que mes hanches butent contre son arrière-train. Mais je veux aller le plus profondément possible en elle, la posséder totalement et je lui demande d’écarter ses fesses au maximum avec ses mains. Elle s’exécute et je progresse encore jusqu’à ce que mon pubis arrive au contact de son coccyx.
Je savoure cet instant, d’abord yeux fermés. Puis mon regard se porte sur mon bas-ventre : toute ma bite a disparu dans le cul de Julie. Elle est toute à moi. Elle m’a tout offert cet après-midi, sans retenue et sans pudeur, laissant au passage son amour-propre de côté. Quelle preuve d’amour !
Après un moment d’immobilité, je reprends mes va-et-vient. Lentement pour ne pas éjaculer trop vite et faire durer cet instant ...
... magique... pour moi en tout cas. Mais la faible lubrification et la pression de cet étui étroit décuplent mes sensations. Avec la tension accumulée, je sens que je ne pourrai pas résister bien longtemps. Et puis je n’en ai plus envie. J’accélère donc mes mouvements et je sens l’orgasme monter.
Je lâche les hanches de Julie et l’enlace, la serre fort tout contre moi comme si je voulais fusionner avec elle. Quelques coups de reins supplémentaires et je jouis, intensément, en éjaculant puissamment des jets de sperme que je sens inhabituellement abondants. Je gémis dans son cou. Elle doit sentir les palpitations de ma bite dans son cul. Je pense à elle à ce moment. Parvient-elle à prendre tout de même un peu de plaisir en ces circonstances si particulières ? Je l’espère sans trop y croire maintenant que la tension retombe et que je prends réellement conscience de ce que je lui ai fait subir.
Je reste planté en elle en la serrant toujours dans mes bras. Je souhaite prolonger cet instant le plus longtemps possible. Julie ne bouge pas et reste blottie contre moi. Je débande très lentement. Je pourrais enchaîner sur un deuxième orgasme, mais cela suffit. Je me retire donc un peu à regret, ma bite affichant toujours une belle érection résiduelle.
Je lui murmure un timide "je t’aime" au creux de l’oreille, inquiet de sa réponse.
— Je t’aime, me répond-elle en souriant sur un ton qui respire la sincérité et ne porte aucune trace de rancœur.
Je suis rassuré. Nous sortirons ...