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J'utilise la magie noire pour arriver à mes fins (1)
Datte: 22/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Désolation, Source: Xstory
... week-end suivant, je rentrais chez mes parents le vendredi soir, l’anniversaire de ma sœur y était prévu et il y allait avoir du monde dès le samedi. En grimpant les escaliers comme un sauvageon, je heurtai la bibliothèque dont tombèrent quelques livres. Je les ramassai, lorsque l’un d’eux attira mon regard. Il s’agissait d’un livre intitulé "Rituel et incantation sur le Vaudou et autre magie". Je trouvai la coïncidence intéressante et entrepris de regarder un peu de quoi il en retournait, après tout, cela pouvait me rapprocher de Lisa. Après quelques pages, je fus effaré et crus à une blague. Il y avait là dedans des sortilèges comme on prépare une recette : sortilège pour faire du mal à quelqu’un "utiliser des clous que vous aurez plantés chez quelqu’un durant deux mois ou plus et enterrez-les chez lui avec du gros sel en encantant Hat’cha’lla’mbak". Je souris en lisant cela. Puis j’aperçus des rituels sur comment rentrer en contact avec un démon, faire tomber quelqu’un éperdument amoureux de soi, avoir des pouvoirs. Au fur et à mesure de ma lecture, je songeai au fait que, même si cela semblait fou, cela ne coutait rien d’essayer. Qui ne rêverait pas de pouvoir rendre sa dulcinée amoureuse de lui ? Les sortilèges d’amour étaient beaucoup plus compliqués que les autres et je ne voulais pas me lancer dans cette aventure sans une certaine garantie. Je repensai au sort pour faire du mal. Celui-là n’avait pas l’air bien compliqué, mon voisin laissait pourrir sa maison ...
... d’où sortaient des clous rouillés. Aussitôt pensé aussitôt fait, lorsque tout le monde fut endormi chez moi, je sortis dans le jardin de mon voisin et y extirpai un clou rouillé. Je creusai ensuite un trou dans son jardin pour enterrer le clou et y jetai le gros sel en murmurant "Hat’cha’lla’mbak". Je vérifiai que personne ne m’ait vu et regagnai ma chambre où je m’endormis assez vite. Je me rappelle avoir rêvé cette nuit-là, un rêve assez différent plein de couleurs, comme un tableau d’où la peinture coulait et une silhouette aux multiples bras et à la voix grave. Je me réveillai après une bonne nuit, et descendis les escaliers. En bas, ma tante était arrivée avec sa fille, ma cousine Hélène. Hélène était une belle jeune fille, assez intimidante. C’était un plaisir à regarder, mais l’agitation de ma tante capta mon attention. — Ça va Tata ? Elle ne dit mot, mais semblait inquiète, ma cousine Hélène me répondit: — En arrivant, elle n’a pas fait attention et a percuté un chien avec sa voiture, on l’a mis dans une poubelle. Ton voisin est venu sonner tout à l’heure pour savoir si on avait pas vu son chien. Je glapis. Je déglutis. Je devins liquide. Le chien de mon voisin était toute sa vie. Il faisait partie des personnes qui donnaient des habits à leurs animaux. Le sortilège. Il avait fonctionné. Je fus désemparé, choqué, mais une lueur en moi grandissait. J’allais maintenant pouvoir expérimenter d’autres sorts, plus complexes, mais plus rentables pour moi. Pour ...