Le confinement (3) - Histoires de Sexe

Le confinement (3)

J’ai réussi à louer une maison en Bretagne, elle est plus grande que ce que nous voulions, mais comme nous nous y sommes pris très tard, nous n’avions plus le choix.

Notre lieu de vacances est dans la petite ville de Binic à une quinzaine de kilomètres de Saint-Brieuc et une deux ou trois kilomètres du centre-ville en direction de Saint-Quay-Portrieux.

Nous sommes isolés dans la campagne, avec une piscine, mais les propriétaires habitent une maison mitoyenne, séparée par une grande haie, nous ne serons certainement pas tranquille la journée, heureusement, ils ne sauront pas ce que nous faisons la nuit dans nos lits.

Début juillet, nous partons tous les quatre en Bretagne dans deux voitures, les hommes conduisent, nous nous arrêtons souvent après le péage de Saint-Arnoult, à peu près à chaque aire de stationnement où il n’y a pas trop de monde pour faire une petite gâterie à nos hommes, et en profitons pour changer de voiture, nous ne voulons pas toujours la même queue dans nos bouches.

Après le péage de la gravelle, il n’y a plus d’autoroute, il faudra attendre Binic pour pouvoir baiser, nous comptons bien commencer nos vacances par cela.

Nous prenons possession de notre location et faisons connaissance avec les propriétaires, je pensais que c’était des personnes âgées, mais à ma grande surprise, ce sont des gens de mon âge.

Je ne leur présente par leurs prénoms mon ami, mon fils et sa copine, mon fils reluque le cul de la voisine et me dit :

— Elle a de ...

... beaux seins et un beau cul, elle me fait bander, si elle me le demande, je la baiserai bien.

Sa copine a vu la scène et dit à mon fils :

— Tu la baiserais bien.

La maison est très grande, nous aurions pu venir à quatre couples, la piscine est grande, l’eau est bonne et la haie est haute et bien touffue nous pourrons vivre tout nus, nos voisins nous ne verrons pas et quand nous ferrons l’amour dehors, nous ne jouirons pas trop fort pour que nos voisins et propriétaires ne nous entendent pas.

La première semaine se passe bien, nous ne faisons pas trop de bruit, mais de temps en temps, nous laissons échapper quelques paroles et pour ceux qui veulent bien entendre, il ne fait aucun doute que nous baisons tous ensemble, quand mon fils me baise, je l’appelle par son prénom.

Nous entendons tous les après-midi nos voisins faire l’amour dans le jardin, et eux ne font pas attention qu’ils ont des locataires, je me demande s’ils ne font pas exprès de jouir très fort pour que l’on entende.

Bien sûr à les entendre, cela nous excite et quand nous faisons l’amour, nous ne nous retenons plus.

Un matin, je pars faire quelques courses à Saint-Brieuc, il faut bien manger de temps en temps et reprendre un peu de force. Quand je sors la voiture, mon voisin me demande si cela ne me dérange pas de l’emmener, lui aussi doit faire quelques courses et sa voiture refuse de démarrer.

Nous partons donc à Saint-Brieuc tous les deux et après quelques kilomètres, je vois qu’il mate ...