Cascade.
Datte: 21/06/2023,
Catégories:
fh,
copains,
vacances,
piscine,
forêt,
fsoumise,
vengeance,
Oral
pénétratio,
fsodo,
attache,
confession,
Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... faire sentir un peu ridicule. Elle me suce, oui. Elle le fait très bien. J’aide parfois de mes mains, me sentant un peu coupable de la forcer alors que là, sous mes yeux, immortalisé pour le moment de la confrontation.
Roland pousse son engin. Par de petits mouvements d’aller et de retour, il se branle dans la gorge avec les lèvres qui forment le plus doux des anneaux. Chaque fois il avance un peu plus. Parfois il ressort sa bite pour laisser la femelle reprendre son souffle à grand renfort de salive qui coule de la bouche qui cherche de l’air. Mais il y retourne et bien vite il arrive à tout entrer. Ses couilles doivent chatouiller le nez de la pute. Il se bloque quelques secondes puis libère, puis revient. D’une main il soutient la tête, de l’autre il promène un doigt délicat sur le cou de la femme. Je comprends alors que son mandrin va si loin qu’il déforme le cou et que son doigt en mesure toute la puissance.
Putain, ça c’est de la gorge profonde de la« Upside Down Deepthroat » comme en montrent des vidéos sur le net, mais que je n’avais jamais vues, ni tenté dans la réalité, pensant cet exercice réservé aux pros ou amateurs très expérimentés. Et voilà que ma femme le fait. Pire, elle semble y trouver du plaisir, car alors que son amant l’enfile ainsi elle se caresse les seins et le minou. Roland a accéléré avec heureusement…
Quel con je fais de penser dans un moment pareil au confort de ma salope d’épouse qui doit le sentir passer…, le réflexe de se retirer de ...
... la gorge pour ne pas l’étouffer. Et puis il se bloque. Il jouit. Il crache son foutre dans la bouche de ma femme, comme moi j’ai juté dans la sienne, ce matin. Plusieurs giclées. La bouche doit être remplie de liqueur. Il se retire. Les lèvres se referment sur la crème. Elle déglutit. Elle se relève. Son visage illuminé par le soleil brille comme pour bien me montrer comment elle a été souillée. Oui, souillée. Je l’ai déjà vu ainsi avec moi. C’était le visage de l’amour, du partage. Ici c’est le visage et la souillure démoniaque d’une sexualité entre pervers.
J’en ai assez vu. Je descends les valises, les sacs, les trousses de toilette. Je les pose devant la porte d’entrée.
Je vais les charger après. Après avoir fait ce que j’ai imaginé. Mais d’abord, bien fermer toutes les issues. Chaque fenêtre du rez-de-chaussée a son volet métallique avec une barre de renfort. La maison fait partie du village, mais elle pourrait attirer les voleurs s’ils savaient ce qu’elle contient. Rien de très précieux, à part le vin conservé dans une cave comme on n’en trouve pas en ville, mais une accumulation d’objets chinés au fil des années. Deux volets à fermer du côté piscine. J’angoisse, mais le Bon Dieu des cocus est avec moi. Enfin, c’est une façon de parler, car ils ont déjà repris la danse. Roland redémarre vite, j’ai vu cela ce matin. Elle est en train de le chevaucher. Ils sont trop occupés pour entendre le léger grincement de métal. En une minute c’est fait.
Je remonte en faisant ...