1. Cascade.


    Datte: 21/06/2023, Catégories: fh, copains, vacances, piscine, forêt, fsoumise, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, attache, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... fait, mais je sais que je ferai tout pour. Nos enfants, notre famille…
    
    Salope. Chienne. Garce. Comment oses-tu parler de nos enfants ?
    
    — Nos enfants. Tu fais bien d’en parler. Sont-ils de moi ?
    — Oh, comment tu peux imaginer… Jamais…
    — Ne te fatigue pas, je ferai des tests en rentrant. Tu peux dire ce que tu veux, je ne te croirai plus jamais.
    
    Elle se tait. Cette hypothèse doit lui faire sentir le fossé qui s’est creusé entre nous.
    
    Une dernière note pour la route. J’appelle Roland.
    
    — Jean ? C’est toi ? Mon salaud ?
    — Bonjour, Roland.
    — Enfoiré, tu me souhaites le bonjour alors que j’ai passé la nuit dehors. Merde et où sont les clés de ma bécane ?
    — Cachées. Je te dirai si tu me racontes.
    — Raconter quoi ? Que la maison est inondée ! Que l’eau coule de partout. Un vrai tsunami. Et à partir de ma douche ! Enfoiré tu veux me faire accuser ! Tout cela parce qu’avec Armelle on a eu un moment de faiblesse. Merde, tu oublies le matin. Moi qui pensais que tu étais un ami. En tout cas, Louis et Maryse sont furieux. J’ai bien du mal à leur expliquer que ce n’est pas moi. Mais pourquoi tu leur as fait cela. Ils ne sont pour rien dans tout ça. Ils vont t’attaquer en justice, c’est sûr !
    
    J’avais mis le haut-parleur. Armelle écoute… Je dis :
    
    — Explique-lui.
    
    Elle hésite, mais mon regard suffit à la convaincre.
    
    — Il est au courant de tout.
    — Armelle, mais de quoi tu parles.
    — Il a trouvé les vidéos dans l’ordi de Louis.
    — Les vidéos ? Mais Louis a ...
    ... toujours dit qu’elles étaient cryptées. Il ne veut même pas nous en donner des copies.
    
    Ce qui est bien, c’est que Roland comprend tout de suite.
    
    — Jean les a regardés et en a fait une copie.
    
    Un silence où la respiration paraît plus forte.
    
    — Ah ! Alors ! Jean, tu te venges de cette façon ?
    — On peut dire cela.
    — Et hier matin ?
    — Je savais.
    — Ah ! Cela n’empêche pas qu’ils parlent de m’attaquer et quand je vais dire que…
    — Tu peux. Au contraire. Dis-leur. Ajoute aussi que s’ils m’attaquent, je me ferai un plaisir de tout déballer. Pas sûr que leur employeur apprécie la publicité…
    — Tu es machiavélique.
    — Non, juste un bon gars, mari fidèle qu’il ne faut pas pousser trop fort.
    — N’en veut pas trop à Armelle. Elle n’est pas coupable de tout.
    — Rassure-toi. Je sais faire le partage des choses et des responsabilités. Tes clés sont sous un morceau de bois vers le grand tilleul.
    
    Je raccroche. Un silence qui pèse. Et puis je suis arrivé au bout du chemin. Ma vengeance sera bientôt parfaite. Oh jamais je ne pourrai me consoler de toutes ces ignominies, y compris ce que j’ai fait et je m’apprête à faire.
    
    — Descends, s’il te plaît.
    
    C’est fou, mais même dans ces circonstances le réflexe de politesse apparaît.
    
    — Mais…
    — Descends.
    
    Je passe le bras devant elle et ouvre la porte.
    
    — Mais Jean…
    — On se sépare ici. Je ne pourrai jamais oublier.
    
    Elle dit « Pourquoi je croyais… », mais sort pourtant. Je crois que c’est le claquement de la portière et surtout ...