1. Christine : gym et copinage


    Datte: 21/06/2023, Catégories: ff, fff, inconnu, gymnastiqu, douche, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... sensations plaisantes en caressant ses zones sensibles. Elle ne reprit une attitude décente qu’après l’interruption programmée.
    
    — Je vous confirme que la vue de vos intimités était charmante, osa Christine. Il m’a semblé que vous avez eu une épisiotomie, ajouta-t-elle plus sérieusement. C’est le cas ?
    — Ma seconde fille. Elle est venue par le siège.
    — J’ai eu la chance d’éviter ce genre de déboire. C’est douloureux ?
    — Pas vraiment, pas sur l’instant. Après, oui, un peu. C’est surtout la rééducation, ensuite.
    — Ah, vous m’en parlerez, j’espère ? Nous aurons plein de choses à nous raconter, conclut Christine. Profitons encore une dernière fois de la douche, je crains que nous ne nous soyons trop attardées.
    
    Elles se tournèrent ensemble pour actionner le robinet et leurs seins s’emmêlèrent dans le mouvement pour s’en rapprocher. Ce fut le prétexte d’un nouveau fou rire.
    
    — Les grands esprits se rencontrent, commenta Chantal.
    — Dites plutôt les grands tétons !
    — Parlez pour vous ! Les miens…
    — … Ne sont pas petits non plus, acheva Christine.
    
    Elles les comparèrent pour tirer la question au clair. Les pointes de Christine étaient longues et étroites, très brunes comme ses mamelons, aux aréoles larges et lisses. Celles de Chantal étaient épaisses, trapues et roses, sur des mamelons proéminents et pâles, avec des aréoles réduites à leur pourtour et légèrement grumeleuses. Les unes et les autres se ressemblaient sur le plan de la rigidité. La moindre pichenette de ...
    ... leur propriétaire les faisait vibrer.
    
    Elles s’en amusèrent avec l’impression étrange de retrouver leurs quinze ans. Elles n’osèrent pas éprouver elles-mêmes la dureté des tétons de l’autre, pas au début en tout cas. Elles s’y risquèrent finalement, pour rire, une fois ou deux, ressentant en ces occasions des frissons refrénés. La tentation était grande, pourtant, de continuer à s’informer. Elles étaient à deux doigts(comme aurait dit Diane de Poitiers) d’y succomber si le bruit d’une porte qui s’ouvrait ne les en avait dissuadés.
    
    Leur jeune monitrice de leur cours entra alors qu’elles se séparaient précipitamment. Elle avait gardé la seyante combi qui soulignait ses formes élancées et manqua lâcher son flacon de gel en les voyant. Christine dissipa en trois mots toute amorce de doute pouvant venir à l’idée de l’importune.
    
    — Quelle bonne surprise ? lui dit-elle tout de go. Voudriez-vous me faire passer ma serviette, s’il vous plaît ? J’avais peur de glisser en allant la chercher… Merci, vous êtes un ange !
    
    La surprise se mua en sourire sur le visage de la jeune femme en acquiesçant et sans plus s’occuper des présentes, elle commença à quitter sa tenue de travail.
    
    Christine s’essuya méticuleusement les pieds, ne serait-ce que pour accréditer son propos, et transmit la serviette à Chantal avant de sortir du box. La monitrice était maintenant nue non loin d’elle.
    
    — Prenez notre suite, lui offrit-elle sans détacher les yeux de son corps. Vous aurez tout de suite ...
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