Lucie, But Not Lucky (?) Ch. 03 bis
Datte: 20/06/2023,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycinolas, Source: Literotica
... barrières devront être vaincues pour l'amener à en jouir, cela augure un apprentissage des plus pimenté.
Il apprécie ses violentes envolées au vocabulaire peu châtié quand il lui donne ses directives, il la veut active, vivante, énergique, bataillant de tout son être avec sa morale, ses convictions, ses repères.
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Le 3ème est un jeune homme dans mes âges, grand, musclé, qui avait rejoint le bar quelques minutes auparavant, remarquant sûrement mon manège. Sa tête est par contre toute petite au regard de sa carrure. J'avais espéré, par son allure plus plaisante et sa jeunesse, un peu plus de compassion, mais un « tu baises? » à peine arrivée au bar ne me laisse plus aucun doute, c'est bien l'idiot du village!
Il est bien membré et bande déjà comme un porc à peine arrivé aux w.c. Il me prend debout contre le mur, j'enroule mes jambes autour de ses hanches pour mon petit confort. Il me bourre sans ménagement me soulevant un peu à chaque coup de reins, et me laissant retomber lourdement le long de sa verge.
Il est rude, ses assauts sont violents, sans relâche et je sens ma chatte trempée réagir à cette brute. Si je jouis ce simplet ne s'apercevra de rien et n'ira pas s'en vanter auprès des autres. Je vais m'autoriser ce plaisir, me détendre au mieux, espérant qu'il ne vienne pas avant moi, ce serait trop horrible et frustrant.
Mon plaisir monte, s'enfle, devient intense, je suis au bord de l'explosion. Je ferme alors les yeux pour oublier l'endroit sordide ...
... qui m'entoure, la tête de l'hydrocéphale qui me baise et profiter pleinement de ma jouissance. Elle m'envahit, me submerge, traverse tout mon corps pour venir raisonner dans ma tête à la manière d'une grosse cloche. Je serre les dents pour ne rien laisser sortir, car même si je ne suis pas une grande crieuse je ne veux rien laisser paraître de mon plaisir.
Je me sens bientôt toute molle, encore secouée par ses coups de reins réguliers. Il n'a pas bronché, rien remarqué et continue sa besogne au même rythme. J'ai maintenant envie qu'il en termine au plus vite, le retour à la réalité est affreux. Ça lui prend encore un long moment avant se de se bloquer au plus profond de mon sexe pour tout lâcher dans la capote. Il se rhabille et sort sans un mot me laissant assise sur les chiottes une capote à mes pieds. Je n'existe déjà plus à ses yeux, j'enrage, même pas le moindre petit mot pour me remercier.
Je suis encore en sueur en arrivant à la table, Paul me regarde, constate la longueur du rapport, m'interroge, je lui note l'endurance du jeune homme en omettant mon plaisir. Une 3ème bière m'est servie, celle-là me désaltère. J'attends avec anxiété et n'ose regarder Paul de peur d'être renvoyée dans les toilettes, je suis vidée de la journée après la séance de l'après-midi. Mais rien ne vient et j'aperçois enfin le bout de ce calvaire.
Alors que je finis mon verre, le patron commence à fermer son troquet, seul encore 4 clients prennent leur temps profitant de ma présence, je ...