1. Une mère pas comme les autres... (19)


    Datte: 19/06/2023, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... superbes. Et malgré l’eau fraîche, je sentis que mon sexe durcissait à nouveau. Je ne pouvais rien y faire. Elles m’excitaient tel un damné. Mais que c’était bon !
    
    Un petit cri me tira de mes rêveries et je tournais la tête vers son origine.
    
    Anaïs était penchée sur le buste de Sylvie et lui mordillait, tout en restant dans le jeu, le téton droit. C’est Maman qui venait de pousser ce petit cri, mélange de surprise et de plaisir.
    
    Je pris appui sur le rebord de la piscine et je m’attardais à les admirer dans leur œuvre.
    
    — Mmhhh….Anaïs ! Suce mes seins, j’adore…
    
    — Tu es décidément insatiable, Sylvie !
    
    — Lorsque l’on m’excite, toujours ! Aaaarrgh….ouuuiiiiii….je sens si bien ta langue qui me lèche….
    
    Ce petit jeu dura quelques instants. Maman appuyait la tête de ma copine sur ses seins alors que cette dernière passait de l’un à l’autre, dans un soupir d’aise et de satisfaction évident.
    
    Anaïs adore le sexe avec une femme, c’est évident à la regarder. Pour la première fois, à ma connaissance, elle suçait une poitrine de femme – et quelle poitrine – avec désir et plaisir combinés. Je ne pouvais qu’être heureux de cette situation. Quel homme n’en rêve pas ?
    
    La main d’Anaïs caressait le sein laissé à l’abandon par sa bouche vorace avec une douceur rare, en passant ses doigts sur cette peau si merveilleusement galbée, contournant le téton pour n’en saisir que la douceur et la finesse.
    
    C’était d’un érotisme torride.
    
    La sensualité et la féminité qui se ...
    ... dégageaient de cet instant était incroyable. Je n’avais jamais assisté à un tel déluge de tendresse entre deux corps. Deux femmes peuvent réduire un homme à néant uniquement par des gestes et des regards. J’avais mal au sexe tant je bandais. Je n’avais jamais ressenti un tel désir combiné à une telle frustration. Car il était hors de question de gâcher ce moment de plénitude par une intrusion ridicule de mâle dans cet instant de pure félicitée entre deux êtres aux courbes et aux gestes si voluptueux.
    
    Je pris mon mal en patience ainsi que ma queue en main et, entamant un lent mouvement pour décalotter mon gland rougit par l’afflux sanguin, je repris une position confortable, le menton sur mon avant-bras reposant sur le rebord en pierre de la piscine.
    
    — Couche-toi sur le transat, Anaïs ! Je n’en peux plus….
    
    Anaïs recula et obtempéra avec un sourire amusé mais reconnaissant.
    
    Maman posa ses mains sur les genoux pliés de ma copine, qui venait de s’allonger, et écarta ceux-ci pour se donner un espace de liberté pour ce qui allait suivre.
    
    Toujours en souriant, Maman posa ses lèvres sur le mollet d’Anaïs, remontant vers le genou pour redescendre lentement par l’intérieur de la cuisse. Je vis un long et lent frisson parcourir l’échine et le corps de ma fiancée sous ces douces caresses maternelles. Maman jouait avec son désir et son corps, se rapprochant certainement de son but mais par des chemins détournés. Lui chatouillant l’aine avec ses lèvres lui effleurant la peau, ...
«1234...»