Une chute de vélo (20)
Datte: 19/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mandrakke, Source: Xstory
... plusieurs fois son anus, mais pas son sexe, que je devinais débordant de plaisir, le réservant pour la suite, comme dans les meilleures recettes de cuisine.
Je poursuivis le massage de ses cuisses, de ses fesses, de ses hanches. Plus j’évitais son entrejambe, plus je la sentais impatiente. J’augmentais son désir par quelques contacts de mes lèvres avec son pubis, sans m’approcher plus de son abricot, qui exhalait de merveilleuses senteurs dont je profitai pleinement avant de repartir embrasser une de ses cuisses, dans un sens puis l’autre. Je revenais régulièrement m’enivrer de son parfum, puis repartais sur l’autre côté du compas que formait ses jambes autour de moi. Plus je faisais durer ce jeu, plus je la sentais se languir de la suite. Mais j’avais tout mon temps pour elle, et puis il me fallait aussi impérativement laisser retomber la pression, la tension sexuelle en moi, si je voulais lui en donner encore plus tard, comme elle l’avait fait pour moi samedi dernier, jusqu’à ce final qui m’avait épuisé, mais qui m’avait apporté bien plus en une seule fois, que toutes mes relations avec les autres filles réunies.
Cette simple pensée, provoqua en moi une furieuse envie de lui offrir aussi cette fatigue soudaine après l’apothéose. Je résistai encore quelques minutes à cet appel tenace, et n’y tenant plus, j’amenai lentement son bassin à ma portée. Ses jambes s’ouvrirent comme une fleur au soleil lorsque mes lèvres se posèrent entre elles. J’en aspirai une bonne partie, ...
... léchai le reste. Ma langue chemina tout au long de ce canyon à l’affut de la moindre réaction. Chaque zone sensible détectée fut immédiatement stimulée pour augmenter le débit de cette onde interne que je souhaitais transformer en ruisseau.
Après le massage de ses jambes, je passai au massage des replis de son sexe avec ma langue. Au gré de mon envie, elle se faisait tantôt large, tantôt pointue, souvent douce et délicate, à de nombreuses reprises, je la fis passer partout à l’exception de son bouton. J’évitai de m’approcher trop de cette zone, pour repousser les limites de mon ange, avant le final.
Ses jambes bien calées, croisées dans mon dos, mes mains purent retrouver ses seins, ses cris se transformèrent en rugissements lorsque mes doigts se saisirent de ses tétons. Julie ne résista pas très longtemps, ses jambes se crispèrent autour de moi, m’exhortèrent ainsi, à poursuivre encore mes actions sans la moindre pause. La pression de mes mains augmenta. La vitesse de ma langue qui se démenait maintenant furieusement dans son intimité également. Cette fois-ci bien décidé à ne pas perdre une goutte de sa liqueur, j’ouvris bien grand la bouche autour de son clitoris et posais alors, enfin, ma langue sur lui.
Ce premier contact fut minime, seule la pointe en effleura le sommet, puis je descendis cette proéminence, en fis le tour, plusieurs fois. Lorsque son corps tout entier fut secoué de convulsions, un jet de cyprine fut projeté dans ma bouche, dont une grande partie ...