1. Story of fantastic Jayne Mansfield


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Célébrités, Auteur: byNiqqui, Source: Literotica

    ... tournant, en se penchant et même certaines fois en dévoilant brièvement mais complètement une poitrine divine. Normal pour une déesse, déesse de l'amour, déesse du sexe, comme elle fut longtemps surnommée.
    
    Nue, complètement nue, elle le fut (et pas brièvement cette fois) pour le magazine Playboy où elle apparut offrant son corps complètement pour l'exaltation des lecteurs de la revue qui battit cette fois-là son record de vente absolu.
    
    Mais la fièvre était aussi sur le plateau où tous les photographes et assistants se bousculaient et s'excitaient, non seulement pour leur métier mais pour eux-mêmes, pour cette splendeur animale s'offrant à eux, sans la moindre gêne, avec le sourire, se tournant, se retournant, tout cela avec la satisfaction extrême de voir tous ces hommes à ses pieds et la certitude que de toutes elle restait la plus belle. Son plaisir était si grand, dit un photographe, qu'on avait l'impression parfois, qu'elle jouissait vraiment.
    
    A l'occasion de la venue de Sophia Loren à Hollywood, Jayne l'attendait, tous seins dehors. Sa robe, fine, lui collait à la peau. La chair de Jayne Mansfield débordait de partout. Mais surtout son décolleté était suffoquant, coupé juste au-dessus des tétons, car bien sûr comme très souvent, Jayne ne portait pas de soutien-gorge. Mais les seins de Jayne n'étaient de ceux qui tombent. Au contraire, ils étaient gonflés à bloc, semblant vouloir jaillir vers le haut. Jayne rodait autour de Sophia et tout en s'approchant, elle ...
    ... tirait sur sa robe pour essayer de faire jaillir ses seins hors du décolleté. Mais son satané tour de poitrine ne laissait pas descendre la robe. Alors Jayne, impatiente, prit sa main droite, plongea dans le décolleté et souleva son sein gauche qui jaillit enfin de la robe, libre, à la vue de tous et à la grande satisfaction de Jayne qui se pencha vers Sophia avec son large sourire. Des centaines de photos furent prises ce soir-là. Sophia fut littéralement assommée par la poitrine de Jayne, qui, semblant sur prise, replaça son décolleté nonchalamment. Ce qui ne l'empêcha pas de poursuivre la soirée, assise à côté de Sophia, bombant le torse, se penchant, s'étirant en arrière, se frottant les seins pour enlever une tâche qui n'existait pas. Ce soir-là les seins de Jayne Mansfield planèrent sur le tout -- Hollywood.
    
    Sophia dont les regards étonnés ou gênés apparaissaient lorgnant sur les seins de Jayne déclara : « Je ne voudrais jamais porter une robe pareille ». Ce à quoi Jayne répliqua : « Elle ne devrait pas dire je ne voudrais pas, mais plutôt je ne pourrais pas ».
    
    Elle aimait la provocation, mais avec tous ses excès, la provocation devint naturelle : bientôt elle ne s'aperçut plus qu'elle provoquait. A force d'être souvent nue, la gêne disparut. Mais le besoin de poser, de s'exposer, d'exhiber tout son corps était devenu une nécessité.
    
    C'est alors qu'on la vit complètement nue, une main cachant ses tétons, un petit linge posé sur son sexe. Ou alors ne portant en ...
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