1. Séduire mon garagiste


    Datte: 19/06/2023, Catégories: fh, hplusag, jeunes, Collègues / Travail voiture, Oral préservati, magasin, Auteur: L'instant présent, Source: Revebebe

    ... le soutien-gorge noir qui les met parfaitement en valeur. Il détourne vite le regard, et moi, je sens mon entrejambe s’humidifier.
    
    En me relevant, je vois le sien légèrement bombé, tout à fait appétissant. J’aime voir le désir naissant sous les vêtements. J’hésite sur la conduite à suivre : j’ai une envie folle de m’agenouiller à ses côtés, de le tâter, d’ouvrir sa braguette et de lécher son mât que j’imagine tendu. Le problème, c’est que je suis trop timide pour ça, alors, j’espère qu’il fera un premier geste vers moi.
    
    Pour l’encourager, je me mets à nouveau à genoux vers lui et lui demande de m’expliquer ce qu’il fait. Je me penche, me cambre, les mains près de lui. Il essaye de me répondre avec sérieux, mais je vois bien qu’il a du mal à parler, regarder la voiture et ma poitrine en même temps ! C’est bien un homme ! Pour suivre ses paroles, je commence à m’allonger près de lui.
    
    Là, il me dit :
    
    — Non, non, vous allez salir votre… belle… robe.
    
    Il n’est donc pas insensible à mes atouts, c’est juste ce qu’il me fallait. Je me lève, enlève ma robe ; et redescends vers lui. Il ne sait plus où regarder.
    
    — Mademoiselle, qu’est-ce que… vous allez vous salir… heu… vous allez avoir froid…
    
    Audacieuse, je le rassure :
    
    — Je n’ai pas froid du tout.
    
    À moitié nue près de lui, je suis bouillante, mon cœur bat si fort que je pense qu’il l’entend ; en tout cas, il doit voir ma poitrine se soulever à bon rythme. Il me dit qu’il va passer à autre chose. Je me ...
    ... relève, en prenant soin de bien lui montrer mes fesses, en cambrant le bas du dos. Derrière, je l’entends déglutir. Je sens ses mains remonter sur mon mollet, caresser l’arrière du genou, la cuisse. La douceur est absolue, je frissonne de plaisir. Il évite mes fesses et effleure le bas de mon dos. Frustrée, je me retourne et le fixe dans les yeux, la bouche légèrement ouverte. Il doit lire dans mes yeux le désir qui m’habite, car il succombe : il me retourne violemment contre la voiture et me claque une fesse.
    
    La surprise me fait reculer et je suis stoppée par son bas-ventre, extrêmement dur. Je ne peux m’empêcher de soupirer d’excitation. Sa force est vite remplacée par des baisers tendres, dans ma nuque, dans mon dos, une partie très érogène. Ma respiration est courte, saccadée, je frotte mes fesses à son bassin. En même temps que ses lèvres sur mon corps, ses mains s’emparent de mes seins, il les sort de leur prison de tissu. Il veut sans doute les voir puisqu’il me retourne. Je l’embrasse avec passion, avec fougue. Ensuite, je me baisse, dépose de légers baisers sur son entrejambe, et le caresse. Je descends son pantalon et caresse son sexe à travers son caleçon. Je l’embrasse à travers le coton pendant quelques instants, et puis je veux le sentir, alors je le sors. Il est gonflé, tendu, et magnifique, ni grand, ni fin, un entre-deux exquis. Je le lèche, l’embrasse, titille le gland.
    
    Aux bruits qu’il émet, il a l’air d’aimer ça. Après avoir embrassé ses couilles, je le ...