Quel mal y a-t-il à essayer ?
Datte: 17/06/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
couplus,
cocus,
profélève,
jardin,
école,
Oral
Partouze / Groupe
hsodo,
jouet,
yeuxbandés,
confession,
couple+h,
cocucont,
Auteur: Margrite, Source: Revebebe
... soupir sans fin alors que Raphael lui remplissait le boyau. On était loin de mon doigt, parfois le pouce, ou du tout petit vibro de voyage. Je connaissais ce qui le prenait et pourtant il avançait sans que des cris de douleurs ne sortent de la bouche de mon mari.
Et puis, manifestement la bite avait trouvé son chemin et les couilles venaient de se joindre à celles de mon mari. Alors Raphael a commencé à bouger. Éric me transmettait le mouvement et, même si je ne pouvais pas voir le mandrin avancer et reculer, les mouvements du ventre de l’homme m’en apportaient la preuve. La respiration aussi ponctuait ce qu’il subissait.
Subissait n’était plus le bon verbe après quelques secondes de cette délicate sodomie. Ses reins paraissaient chercher le mandrin.
Et Raphael a accéléré et amplifié ses mouvements. Alors l’évidence est apparue. Éric appréciait. Il s’est redressé un peu sur ses bras et alors qu’il me surplombait, se cambrant comme moi je le fais lorsqu’on me prend en levrette pour mieux sentir et participer à la possession, j’ai pu le voir son visage.
Il était différent. Chaque poussée que Raphael ne retenait plus, se traduisait par des « Ah », expulsés par de longs soupirs.
Il était tellement cambré que j’avais l’impression que le mandrin qui lui prenait le cul, le traversait et me prenait en même temps.
Et puis Raphael s’est déchaîné. Alors j’ai entendu dans la bouche d’Éric des mots que je ne pensais jamais entendre, mais que lui attendait de moi et m’y ...
... encourageait.
Des « Ohhh ». Des « Ahhh ». Des « Ouiii ». Des « C’est bon ». Des « Encore » et ce que je n’aurais jamais imaginé dans le plus imaginatif de mes fantasmes, des « Plus fort », « Prends-moi le cul ».
Et puis un « C’est chaud » qui ne pouvait être que le foutre de Raphael qui lui inondait le cul déclenchant sa propre éjaculation. Son enculeur l’a encore « travaillé » un moment.
Alors que Raphael se redressait, son sourire était accompagné d’un pouce levé. Il avait raison. Mon mari ne pouvait nier que sa première fois avec une bite de mec dans son petit trou, était une réussite.
D’ailleurs lorsqu’à son tour Éric s’est levé, ses yeux étaient emplis de larmes, lui que je n’avais jamais vu pleurer. Il y eut un moment de gêne et puis comme si rien ne s’était passé, après une bonne douche, la soirée a continué.
Mais dès le lendemain, il m’a dit, et cela a été sa Seconde Faute :
— Tu ne penses pas qu’on devrait faire une pause. Le sauna et Raphael, cela fait beaucoup. J’ai l’impression que nous n’avons plus de temps pour nous retrouver juste tous les deux… en amoureux…
— Peut-être que les deux, cela fait beaucoup. Si tu veux, on peut en supprimer un.
— Non, je crois que c’est préférable de tout arrêter. On verra plus tard, le temps de retrouver nos marques.
— Comme tu veux. Mais pourtant hier, j’ai eu l’impression que tu avais apprécié avec…
— J’avais trop bu. Je n’aurais pas dû.
Au ton de sa voix, je comprends que je ne dois pas insister. Je me ...