1. De la vierge à la salope (suite) (7)


    Datte: 17/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: tarbenero, Source: Xstory

    Les vacances sont là. Nous allons en Espagne, dans un petit village tranquille où nous avons loué une grande maison, complètement isolée.
    
    Ma sœur Pascale veut venir avec nous, ainsi que mon frère André. Norbert accepte, mais il désire aussi emmener Sarah. J’acceptes avec joie. Après tout, j’ai décidé de la transformer en une vraie salope, son éducation est bien avancée, mais il y a encore des lacunes. Et puis j’ai une petite idée derrière la tête, concernant ma sœur. Sarah va m’aider.
    
    Nous prenons la route, un dimanche matin très tôt. Il fait beau, Norbert a décapoté la voiture. Comme à mon habitude, je suis vêtue très court. Une jupe en jeans qui m’arrive au ras des fesses. Dès que je lève les bras on peut apercevoir mon pubis. Celui ci étant toujours épilé, on distingue très bien ma fente qui monte très haut. Un gilet sans manches assortie à ma jupe ne cache rien de mes seins. Sarah m’a imitée. Elle expose avec complaisance ses jambes largement dénudées. Pascale, un peu plus sage, a revêtu un short, assez moulant quand même et un tee-shirt. André s’est installé entre Pascale et Sarah, il louche sans cesse sur les cuisses de cette dernière qui, bien sûr, ne fait rien pour les cacher.
    
    Bien enfoncée au fond de mon siège, je laisse le soleil me caresser les seins dévoilés par mon gilet entièrement déboutonné. Ma jupe est remontée très haut, découvrant ma chatte. Un coup d’œil dans le rétroviseur m’apprend que Sarah en fait autant. Pascale la regarde, étonnée de tant ...
    ... d’impudeur. André lui n’en perd pas une miette. Je le vois s’agiter sur son siège. Il doit bander comme un âne. A cette pensée, ma chatte s’humidifie. Norbert a glissé deux doigts dans ma moule et la caresse doucement, sans chercher à me faire jouir, juste pour entretenir mon excitation. A chaque fois que nous doublons un camion, le chauffeur n’en croit pas ses yeux. Il croit rêver devant ces deux chattes exposées. Vers midi, Norbert décide de s’arrêter pour déjeuner. Ne désirant pas subir les menus des restaurants d’autoroute, il se dirige vers le péage. Je mets mes pieds sur le tableau de bord, écartant les cuisses, ma chatte est bien visible, les lèvres écartées luisante de mouille sont un appel au viol. Voyant cela, Sarah en fait autant. Mon frère et ma sœur nous regardent, incrédules. Ils commencent à se poser des questions. Ils ne sont pas au bout de leur surprise.
    
    Une chance, le préposé au péage est un mec, il a beaucoup de mal à rendre la monnaie, ses yeux vont sans arrêt de la moule de Sarah à la mienne, sans pouvoir se décider sur laquelle s’arrêter. Norbert redémarre. Quelques kilomètres plus loin, une auberge nous tend les bras.
    
    Notre entrée dans le restaurant ne passe pas inaperçue. Plusieurs tables sont occupées par des couples, ou des hommes seuls, sûrement des voyageurs de commerce. Les regards se portent sur Sarah et moi, reluquant nos cuisses et le bas de nos fesses. Nous nous installons à une table au fond de la salle. Nous sommes face à la salle Sarah ...
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