Lettre d'amour d'un mari pour être cocu - Histoires de Sexe

Lettre d'amour d'un mari pour être cocu

Ton plus beau vêtement, c’est celui provenant des regards des hommes parant ta nudité. Ta silhouette élancée, je l’ai d’abord devinée si belle lors de nos premières rencontres

Ton visage tour à tour lumineux et sévère à l’image de ta jolie bouche à la sensualité contenue par le dessin de tes lèvres aux contours parfaits, comme l’œuvre la plus pure d’un artiste amoureux

Les lignes exquises qui caressant ton cou, ta nuque, tes épaules appelaient des caresses que je ne pouvais que rêver alors, mes mains parcourant cette part de ta nudité offerte à mon désir déjà si fort. Et puis il y avait tes jambes qu’une longue robe fendue me laissait entrevoir à chacun de tes pas. Ton élégance qui mêlait déjà d’une façon si troublante, cette alliance de classe et de simplicité Je t’imaginais issue de la haute bourgeoise, ton milieu se révélera plus modeste, mais pas ta prestance.

Ta pudeur tout d’abord a fait que j’ai éprouvé avec bonheur les sublimes reliefs de ton corps avec mes mains Avant de te découvrir en pleine lumière et combien tu étais plus belle encore que ce qu’il était possible d’imaginer.

Tu n’avais pas confiance en toi, mais bien sûr tu savais que tu étais belle. Tu m’as dit, justement, et assez tôt, être fière de ta jolie poitrine à la fois souple et ferme, celle d’une jeune femme magnifique, porteuse, avant même d’être mère, d’un appel évident à donner le sein.

Pour mon plus grand bonheur, c’est une caresse que tu aimes, et je suis aujourd’hui plus que ...

... jamais avide de tes mamelons exquis, de la texture savoureuse de ce buste aux reliefs enivrants.

C’est incroyable, mais quand je parcours aujourd’hui de ma bouche tes seins, j’ai l’impression de découvrir à chaque fois de nouvelles saveurs qui m’avaient échappées.

Parfois je les goûte plus souples, quelquefois plus fermes, tour à tour ceux d’une jeunesse éternelle, ou d’une maturité triomphante !

Ce qui est magnifique après toutes ces années, c’est que ta beauté ne s’est pas ternie sous l’effet de l’habitude, de la routine, elle s’est épanouie, magnifiée par cette assurance qui t’a gagnée peu à peu

Pour ne rien gâcher, tu as beaucoup d’humour, tu es ce qu’on appelle une femme d’esprit, mais cet humour parfois te servait de façade pour ne pas assumer ton évidente sensualité, comme si tu voulais fuir tout élément de séduction à l’égard des hommes

Bien sûr tous les séducteurs parmi nos connaissances aimaient jouer leur partition avec toi, cherchant à croiser ton beau regard d’un air entendu, mais tu n’étais pas vraiment à l’aise.

Tu m’as parlé un jour d’un homme au téléphone qui t’avait appelée par hasard et qui était tombé amoureux de ta voix quand tu étais enceinte, et de ce petit jeu de séduction qui avait existé entre vous sans que cela aille plus loin.

Il faut dire que ta voix de soprano exquise qui m’avait déjà charmée dès notre première rencontre à la chorale ferait fantasmer n’importe quel homme au téléphone.

Ce qui a permis aujourd’hui que ta beauté ...