1. Le Club - Partie 28


    Datte: 10/09/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byAgentChelateur, Source: Literotica

    ... totalement communes en apparence pour les transformer en véritables femmes fatales dans tous les sens du terme. Ces femmes avaient acquis le surnom de « veuves noires » car le « caïd » les envoyaient séduire ses ennemis les mieux protégés qu'elles pouvaient approcher grâce à leur charme hors du commun et qu'elles éliminaient dans leurs chambres à coucher.
    
    Yvon comprit qu'un danger affreux pesait sur lui mais malheureusement pour lui, il était trop tard. Mathilde brandissait déjà une arme dans sa direction en affichant toujours son sourire engageant qui lui avait fait perdre son instinct de survie légendaire. Le parrain voulut crier pour appeler à l'aide mais avant qu'il n'ait pu ouvrir la bouche elle appuya à deux reprises sur la gâchette de son pistolet et le bruit de deux détonations étouffées par le silencieux de l'arme marquèrent la fin du dernier survivant de la lignée de Parini.
    
    CHAPITRE 5
    
    Profitant de la protection de la nuit, Christine s'approchait de la cantine à pas de loup. Elle savait qu'elle ne devait pas attirer l'attention des personnes qui se trouvait à l'intérieur du bâtiment en préfabriqué dans lequel Sandrine était détenue depuis le début de la soirée. L'éducatrice glissa sa tête au dessus d'une des fenêtres pour vérifier si, comme elle l'espérait, le silence des environs indiquait bien que toutes les personnes présentes à l'intérieur dormaient. Ce qu'elle vit lui glaça les veines.
    
    Effectivement, tous les ouvriers semblaient dormir à poings ...
    ... fermés. Même de l'endroit où elle se trouvait, elle pouvait sentir les relents d'alcool mais le pire arriva quand elle vit enfin Sandrine. L'ancienne bourgeoise se trouvait au milieu de la pièce, des cordes attachés à ses poignées et reliées au plafond la maintenaient dans une position debout, les bras tendus.
    
    Rassurée, Christine se dirigea vers la porte d'entrée qu'elle poussa en conservant toujours à l'esprit son obsession de ne produire aucun bruit. Elle savait pertinemment que si elle réveillait l'une des bêtes dormantes, les conséquences seraient terribles. Elle s'approcha de Sandrine. Elle était totalement nue et en dépit de la posture affreusement inconfortable, elle s'était endormie témoignant ainsi de l'état d'épuisement dans lequel elle se trouvait. Il ne fallait pas être un génie pour deviner qu'elle avait été violée par tous les hommes qui désormais cuvaient leur vin aux alentours. Christine posa sa main sur son épaule. En sentant un contact sur son corps, Sandrine se réveilla en sursaut et eut le réflexe de crier mais heureusement, Christine avait anticipé cette réaction et posé sa main sur la bouche de sa maîtresse afin d'étouffer le bruit.
    
    - Chut! Murmura-t-elle à son oreille sur le ton le plus rassurant qu'elle pouvait adopter dans ces circonstances. C'est moi, je viens te sauver.
    
    En entendant enfin une voix rassurante, Sandrine se calma immédiatement et posa sur Christine un regard plein de gratitude. La directrice du foyer détacha sa maîtresse qui ...
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