Deux après-midis dans notre vie - Histoires de Sexe

Deux après-midis dans notre vie

... s’être attardés devant, ses doigts viennent peloter un petit cul que je suppose bien ferme.

— Eh bé ! laisse-t-elle échapper dans un murmure.

Markus s’en amuse :

— Que dois-je penser de cette exclamation ?
— Euh… comment dire… je… j’ai l’impression de toucher une statue…
— Une statue ? C’est bien la première fois qu’on me dit ça !

Elle lève les yeux :

— Je veux dire par là que… que vous êtes digne d’une statue grecque antique.
— Hmm, c’est flatteur !

Ma femme rougit à nouveau, Markus continue sur sa lancée :

— Je comprends ce que vous voulez dire par statue grecque, mais je crains qu’un détail anatomique de ma personne soit un peu différent.
— Je… j’ai cru comprendre…
— Vous savez, rien ne vous empêche de le constaterde visu, chère Nadine.

À nouveau, ma femme me jette un coup d’œil. À nouveau, elle comprend qu’elle peut y aller. Elle hésite néanmoins un peu, puis se décide. Elle glisse ses doigts entre la peau et le boxer qu’elle abaisse lentement.

Elle révèle alors une verge triomphante bien nervurée qui se dresse sous son nez. Je me fais peut-être des idées, mais on dirait presque qu’elle en salive d’avance ! En tout cas, ses yeux sont luisants. Sans oser toucher, elle contemple le spectacle que Markus lui offre.

Puis elle rompt le silence :

— Je suis rassurée, je m’attendais à plus gros et long ! Mais c’est déjà copieux !

Markus se met à rire :

— Oui, c’est assez copieux ! Je vous rassure, c’est souvent une légende, les trop ...

... bien membrés, mais je reconnais que ça dépend parfois des ethnies. Les vidéos X ne montrent pas les moins bien pourvus, c’est certain.
— Ah, d’accord…
— Comme vous le voyez, mon service trois-pièces est juste comme il faut.

Fixant la chose, Nadine proteste un peu :

— Juste comme il faut, c’est vite dit ! C’est quand même copieux ! Ça fait peur !
— Vous verrez, ça passe tout seul. Bien sûr, il y a l’art et la manière…
— Vous allez me dire que vous avez l’art et la manière ?
— Disons honnêtement que je ne me débrouille pas trop mal.
— Si vous le dites…
— Vous me direz quoi tout à l’heure, chère Nadine.

Ma femme esquisse un petit sourire. Je ne sais pas ce qu’il faut en déduire. Puis intriguée, Nadine regarde mieux :

— Vous êtes circoncis, c’est ça ?
— On ne m’a pas demandé mon avis quand j’étais bébé… c’est un rite coutumier, pas forcément lié à une religion. Mais il faut reconnaître divers aspects pratiques à cette opération.

En effet, le design de son sexe est différent du mien. De plus, mon partenaire de jeu possède un engin plus gros que le mien qui est dans la moyenne, mais curieusement, moins de testicules, comme si l’un compensait l’autre.

Nadine se tourne vers moi :

— Je peux toucher ?
— Écoute, ma poupinette, si tu me demandes la permission à chaque fois, nous ne sommes pas sortis de l’auberge ! Dis-toi que Markus est en quelque sorte ton cadeau perso, et que tu peux faire ce que tu veux avec.

Encore un peu suspicieuse, elle insiste :

— ...