Mon initiatrice au métier d'ostéopathe
Datte: 10/09/2018,
Catégories:
ffh,
grossexe,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
historique,
Auteur: Mlkjhg39, Source: Revebebe
... pouvant plus je crie :
— Vas-y baise moi, plante-la-moi bien profond, défonce-moi !
Accédant à mon désir, il pousse un peu plus fort, sa queue entre davantage en moi. Elle est si large ! Même mouillée comme je le suis, je la sens me distendre les parois. Il se retire puis replonge encore un peu plus, profondément, ressort à nouveau et là me plante dans le ventre pratiquement jusqu’à la garde sa barre de chair d’une taille monstrueuse, bien plus grosse que je n’aurais imaginé pouvoir jamais absorber.
Je sens le gland épais s’immiscer, il bute tout au fond sur mon utérus, ne pouvant aller plus loin. Il commence à limer, il entre et sort doucement presque entièrement, alternant les coups de boutoir doux et puissants. Je gémis… Le rythme de ses coups de queue se fait plus rapide. Je râle à chaque coup de pine. Ma chatte reçoit sa queue avec des bruits de succion et ses couilles claquent contre mes fesses. Ses mains me tiennent par les hanches et il me défonce littéralement.
Pendant ce temps, Juliette n’est pas restée inactive et lèche tout mon corps pour me nettoyer de la semence qui me recouvre. Une fois qu’elle a fini, elle se déshabille et monte à genoux sur la table, me chevauche et m’embrasse à pleine bouche, présentant ses fesses à Patrick.
Il la force à se coucher sur moi, chatte contre chatte, seins contre seins qu’il pétrit généreusement.
Soudain il retire son chibre de mon fourreau étroit et l’enfonce d’une seule poussée dans le coquillage de ...
... Juliette si violemment que son corps est propulsé vers l’avant.
— Nonnnnnnn… Ohhhhhhh… Ohhhhhh… Ohhh, s’il vous plaît… Je vous en prie… Ne faites pas cela… Argghhhhhhhhhhhh ! crie Juliette alors que l’épais gourdin s’enfouit dans son étroite petite chatte.
Il pose ses mains sur ses hanches et la tire vers lui pour l’empaler à fond. Les yeux de Juliette sont comme fous, sa bouche est grande ouverte mais aucun son n’arrive à en sortir. Il continue sa chevauché passant alternativement d’une chatte à une autre pendant une dizaine de minutes quand soudain nos deux trous sont sevrés de son gourdin. Il nous annonce :
— Je fatigue, les filles, à moi de me coucher et à vous de travailler !
Il s’étend sur le dos et attend avec patience, son engin posé sur le ventre, Juliette s’approche de lui, met une jambe de chaque côté de son corps, les deux mains sur ses hanches et plie les genoux. Il redresse sa verge toujours aussi dure et la présente à la vulve toute proche, doucement, tout doucement, elle s’empale sur son merveilleux chibre que je vois disparaître petit à petit au fond de son sexe.
Je fais de même au niveau de sa tête. Il a maintenant un doigt dans ma chatte, il le bouge avec sensualité et une précision que je n’ai jamais rencontrée jusqu’alors. Il me fait la caresse dont je rêve dans mes fantasmes, il fait passer un doigt sensible, agile et très subtil, presque furtif, depuis mon clitoris, jusqu’au trou de ma rosette en passant par les petites lèvres de mon con, le ...