Jour six
Datte: 15/06/2023,
Catégories:
fh,
grp,
hplusag,
couplus,
extraoffre,
inconnu,
nympho,
bizarre,
vacances,
collection,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
init,
initiatiq,
Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe
... :
— Tout à l’heure vous avez parlé des femmes nymphomanes, elles sont traitées selon les mêmes méthodes qu’ici ?
— Mais, chérie, bien entendu… Les patientes nymphomanes, elles sont là, derrière les cloisons… Elles sont heureuses de pouvoir satisfaire leurs besoins de sexe sans se préoccuper ni de la drague, ni des à-côtés, ni d’avoir peur de tomber sur un psychopathe qui va leur faire mal. Ici, tout est soft… tout est sous contrôle.
— Oui, mais certaines sont attachées.
— Juste pour le confort de la position, et toutes les heures et demie, elles peuvent changer d’atelier.
— Et si je veux essayer ?
— Chérie, tu me fais grand plaisir… Toi tu verras, tu ne regretteras jamais cette expérience et comme Amanda, tu reviendras. Viens, suis-moi… Laisse ton mec ici, il saura se débrouiller tout seul.
Aujourd’hui, avec le recul, je peux affirmer qu’une certaine appréhension a noué mon ventre durant un moment en voyant s’éloigner Mathilde accompagnant Katarina. Mais la recommandation d’Amanda me rassurait un peu… Non, elle n’allait pas être enlevée par un réseau mafieux des Balkans, ni vendue sur un marché aux esclaves de chez Daes’h pour devenir esclave sexuelle dans un bordel sordide. Mathilde suivait volontairement notre hôtesse pour se préparer à expérimenter le concept duglory hole et au fur et à mesure que le temps passait, je me demandais quel type de trou, Mathilde allait-elle choisir à moins d’en expérimenter plusieurs ?
En attendant, redevenu pour quelques ...
... moments, célibataire, environné d’odeurs de luxure et de stupre – enfin je pouvais mettre de vraies odeurs sur ces mots – je me déshabille et décide de profiter pleinement de cette pièce, et la surprise de ces « trous glorieux »… Et vous dire que je n’y ai pas pris mon pied serait vous mentir, mais l’absence de corps, de regards, la fixité des corps – enfin je veux dire, des positions figées – ne m’ont pas permis de jouir aussi pleinement de la situation.
Quelques heures plus tard, alors que je suis confortablement assis dans un moelleux fauteuil, un verre de champagne à la main, plongé dans une douce torpeur due à mes exploits de l’après-midi, baigné par de suaves mélodies jouées par un vrai pianiste de bar, Mathilde finit par me rejoindre. Avec une certaine raideur, elle se penche sur les lèvres pour y déposer un long et langoureux baiser.
— T’es un drôle de mec.
— Quoi ? Moi ? Comment ça ?
— Tu m’emmènes dans des coins pas possibles. Je te fais confiance. Je me laisse faire, je m’abandonne carrément dans tes bras et toi tu m’ouvres à ma libido de jeune étudiante française qui ne connaît rien à la vie, qui n’imagine même pas que tout ça peut réellement exister. Est-ce que tu te rends compte du choc culturel que c’est pour moi, tout ça ? Et le pire, c’est que maintenant, je me dis que tout cela va me manquer quand toi, tu seras rentré à ton boulot, tu m’abandonneras dans ma chambre d’étudiante. Tu n’imagines même pas l’état de frustration que cela est en train de faire ...