Jour six
Datte: 15/06/2023,
Catégories:
fh,
grp,
hplusag,
couplus,
extraoffre,
inconnu,
nympho,
bizarre,
vacances,
collection,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
attache,
init,
initiatiq,
Auteur: JeffTrois, Source: Revebebe
... chérie, reste près de moi. Avec moi, tu ne crains rien.
Devant nous s’élève un vaste escalier qui débouche sur un hall où quelques hommes se déplacent, nus, le sexe en érection. Ils entrent et sortent de pièces dont on ne distingue pas l’intérieur.
Katarina, pour traverser, serre la main de Mathilde et continue son laïus de guide…
— … Ici, chacun est libre de son corps. Ils ont à disposition tout ce qu’ils veulent pour assouvir leurs fantasmes, leurs besoins et faire en sorte qu’une fois dehors, ils ne sautent plus sous toutes les jupes.
— Mais… mais comment font-ils ? murmure Mathilde.
— Uniquement pour celles qui le souhaitent, nous leur proposons d’être à disposition des malades pour les satisfaire… Ce recrutement se fait uniquement sur la base du volontariat. Et l’exercice ne se fait que dans cette partie-là ! Au-delà de cette porte, en bas, les rapports sexuels sont formellement interdits…
— Mais… mais c’est une forme d’esclavage sexuel ! s’indigne Mathilde.
— Non… pas du tout… Ici, tout le monde est volontaire et chacun reçoit une juste rémunération. Les cours avec les professeurs de langue, de cuisine, d’hôtellerie et de service coûtent cher en salaires et charges sociales. Aucune des filles ne pourrait payer, à moins de les rançonner comme le font certains réseaux de trafiquants d’êtres humains. Ici, elles sont volontaires pour nous rejoindre, apprennent un métier et peuvent participer aussi, à des actes thérapeutiques. Mais seulement si elles le ...
... souhaitent ! D’ailleurs certaines tentent l’expérience une fois et ne la recommencent pas. Il est vrai que celles qui acceptent de dispenser ces pratiques thérapeutiques doivent payer de leur personne, mais vous allez voir que les méthodes instaurées par nos aînées au XVIIe siècle fonctionnent encore, et cela permet de conserver l’anonymat des uns et des autres. C’est un système qui évitait, à l’époque, que les malades ne soient reconnus, mais surtout repoussés en raison, toujours à cette époque, de leurs tares et/ou de leurs laideurs. Aujourd’hui, tout le monde se côtoie, en bas, dans la partie école d’hôtellerie traditionnelle. Pensionnaires malades et nos étudiantes. Ici, dans la partie soins, tous les contacts sont anonymes. Personne ne peut reconnaître personne. Suivez-moi, vous allez voir.
Nous entrons dans une de ces fameuses pièces thérapeutiques, toute sombre où, seuls des spots éclairaient crûment des trous desquels dépassaient des jambes, des culs, des sexes féminins, largement écartés, rasés ou poilus. Devant, quelques « clients », la queue raide, se dépêchent de les besogner les unes après les autres… Certaines, à hauteur de bouche, offrent leur sexe à lécher, d’autres – cul et fesses écartés – attendent d’être sodomisées. D’autres encore, le sexe au ras du trou, les jambes largement écartelées, les chevilles sanglées, « espèrent » une saillie. Quelques trous, vides, à hauteur de ceinture permettent d’y glisser un pénis et de recevoir soit une branlette soit une ...