Douche et dîner érotiques
Datte: 14/06/2023,
Catégories:
ffh,
hplusag,
couple,
candaul,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
intermast,
portrait,
couplea3,
Auteur: ElodieParis, Source: Revebebe
... contenu, et cela la fit frissonner, pensant à leur usage.
Olga jeta un peignoir à Elodie et referma vite le tiroir. Le vêtement était très grand pour la jeune fille, probablement un peignoir réservé aux amants de passage qui venaient défoncer Olga. Elodie sentit les hormones des mâles alpha qui devaient se succéder pour saillir et satisfaire la belle Olga. Elle ne put s’empêcher d’imaginer cette femme se faire prendre avec force par tout type de mecs bien membrés. Après tout, elle méritait ce peignoir, car elle était, elle aussi, le sex-toy vivant d’Olga, son jouet. Elle l’avait fait jouir si fort, à deux reprises et elle en était très fière.
Elodie fit trois pas en arrière. Elle s’effaça en allant s’asseoir sur le grand fauteuil, le poste d’observation de Philippe lors des ébats sous la douche. De là, elle découvrit la vision offerte, se mettant un peu dans la peau d’une candauliste, en harmonie avec Philippe. Elle comprit à ce moment-là le plaisir qu’il prenait à être le témoin des plaisirs de sa belle épouse.
Elodie admirait Olga qui prenait soin de se sécher ses longs cheveux noirs sur ses épaules et de les coiffer. Puis elle se maquilla, avec un léger fonds de teint, passa un lipstick sur ses lèvres et mit un peu de khôl autour de ses magnifiques yeux noirs. Elodie avait l’impression d’avoir devant elle la reine Cléopâtre en personne. Cette comparaison aurait beaucoup plu à Olga, qui admirait beaucoup la dernière reine d’Égypte. Elle adorait que l’étudiante ...
... l’observe et continue de la dévorer du regard, au fur et à mesure où elle se faisait encore plus femme face à son miroir.
Quand les filles sortirent enfin de la salle de bain, le lit avait été refait par Philippe. Il était impeccable et sentait bon, le même parfum d’adoucisseur qu’utilisait la grand-mère d’Elodie. Plein de souvenirs d’enfance remontèrent en elle. Sur un chevalet, était posée la robe de chambre de Philippe et ses affaires du jour. Dieu que cet homme était parfait, carré comme un militaire, un homme d’honneur, d’une philosophie de vie qui forçait le respect.
— Tiens, enfile ça, Philippe adore !
Olga venait de lui jeter la chemise que Philippe portait à son arrivée dans leur appartement.
— Tu ne porteras que cela ce soir.
Elodie se retourna pour serrer la chemise tout contre son cœur, emplissant ses narines de ce bleu de Chanel paternel. Elle ne voulait pas qu’Olga change d’avis et joua le vrai pour le faux.
— C’est gênant, Olga
— Je ne t’en donne pas le choix, ma petite.
Elle se retourna à nouveau pour sourire de joie. Elodie, cheveux mouillés ressemblait un peu à une souillon, avec sa chemise froissée, trop grande pour elle, mais rien au monde ne pouvait faire plus plaisir à Elodie que cela : porter un vêtement imprégné de l’odeur de cet homme qu’elle désirait.
— Fais pas ta timorée avec moi, s’il te plaît, et dégrafe-moi deux boutons
Elodie avait refermé la chemise jusqu’en haut
— Allez, un bouton de plus encore, Philippe a toujours ...