Couvre-Feu (6) - Histoires de Sexe

Couvre-Feu (6)

Les seins de la femme de mon ami sont tellement bons également, je ne les vois pas, mais dans cette posture à les malaxer, les toucher, les prendre en pleine main... je les trouve à mon goût ! Une poitrine généreuse qui me faisait de l’œil à chaque fois que je la voyais et maintenant qui est mienne le temps d’une soirée ! Je compte savourer tous ses attributs cette nuit, je ne veux laisser aucun centimètre de sa peau sans le découvrir au moins une fois.

Je continue de jouer, de fouiller son intimité avec ma langue pendant qu’elle joue toujours de ses doigts sur son bouton. Mais je sens et surtout j’entends que c’est bientôt la fin pour elle. Ses gémissements se font entendre de plus en plus, de plus en plus fort, mais également de plus en plus rapides. Je ne cesse mon travail et le résultat que je souhaitais arrive. Elle se lâche, elle se laisse aller au plaisir. Je finis par un dernier coup de langue sur son bouton pour l’achever, chose réussie. Objectif atteint !

Elle se laisse aller au fond du canapé, elle se vide de son énergie et de son plaisir, ses jambes ne tiennent plus comme tout le reste de son corps. Ses jambes tombent, le canapé retient ses cuisses et tout son corps suit ce mouvement. Elle est couchée sur mon canapé, nue entièrement, les cuisses ouvertes à savourer ce moment. Si j’étais peintre, je l’aurais prise comme modèle à cet instant.

Je me redresse, je la fixe, je ne la quitte pas des yeux, car je veux profiter de ce spectacle sans en perdre une ...

... miette comme si j’avais payé mon ticket. Me voilà debout devant elle, dans la même tenue qu’elle. Comment vous dire, je suis aussi nu que mon amie, mais je suis également aussi excité ! Je suis debout, devant, mais également dur et droit, mon sexe est à l’horizontale, en attente d’action. Je la laisse reprendre ses esprits, elle a un peu de mal. L’excitation devait être forte et le plaisir trop dur à gérer.

Je me tourne en direction du salon, je ne vois plus personne près de la table et des chaises. Ma femme et mon ami ne sont plus là où je les avais quittés. Je m’avance, je jette un œil près du salon, mais toujours rien. Je continue d’avancer vers la cuisine quand je vois la porte des escaliers pour aller vers la chambre ouverte. Je vais vers cette porte, je m’apprêtais à descendre quand un son venant d’en bas m’interpelle. La réponse à ma question vient de m’être donnée par ma femme ! Ce bruit, je le reconnaîtrais entre mille, c’est ses gémissements quand elle se donne soit en levrette, soit quand elle est dessus à chevaucher la personne ! Je reste planté là à écouter, à essayer de deviner ce qu’il se passe en bas. Je l’imagine à quatre pattes dans notre chambre à bien accueillir notre ami entre ses cuisses derrière elle, à lui présenter une vue directe sur son fessier et son sexe que j’imagine brûlant à ce moment.

Mon sexe, toujours droit et fier, n’en peut plus. Il faut vraiment que je passe à l’action pour me soulager. Je pose ma main sur mon sexe, je commence à me ...