1. Femmes à lunettes, femmes à...


    Datte: 13/06/2023, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail grosseins, groscul, lunettes, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, facial, Oral pénétratio, fsodo, Humour magasin, BDSM / Fétichisme Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    Depuis son adolescence, Valentin fantasmait sur les femmes à lunettes. Ce sont des choses qui ne s’expliquent pas et ne peuvent à rien se réduire à la tirade « femmes à lunettes, femmes à… ». Vous connaissez la suite, elle est absurde, comme si les porteuses de lentilles – souples ou rigides – et les chanceuses nanties d’un 10 à chaque œil étaient moins disposées au sexe que les binoclardes.
    
    Il n’empêche… Dès le lycée, Valentin s’était branlé en pensant à ses profs portant lunettes et pas aux autres : la prof de maths et ses imposants carreaux qui évoquaient pour lui le soutien-gorge contenant ses vastes nichons ; la prof de français avec ses demi-lunes, métaphore d’un balconnet, ou encore la prof d’anglais et ses petites lunettes rondes à la Jane Birkin qui laissaient supposer de petits seins libres sous le pull. Il va sans dire que les lunettes de soleil n’entraient pas dans sa fabrique d’imaginaire. Seules l’intéressaient les myopes, les vraies de vraies, qui ne peuvent se passer de verres correcteurs dans la vie de tous les jours.
    
    Le temps avait passé et, arrivé à la trentaine, Valentin avait pu assouvir souvent ce vieux fantasme. Il n’en était pas pour autant rassasié. Resté célibataire, il demeurait toujours en chasse. Ses visées présentes se concentraient sur deux quadragénaires, car il était convaincu que c’était à cet âge que les femmes baisaient le mieux, ce qui restait assez subjectif, mais pas tout à fait dénué de réalité.
    
    Ces deux « objectifs » étaient ...
    ... physiquement aussi dissemblables qu’on pouvait l’être. La première, prénommée Agnès, évoluait dans son environnement professionnel. Dotée d’une paire de lunettes rectangulaires qui tranchaient sur son visage lunaire, elle était légèrement boulotte, précédée de ses seins en obus et suivie de sa croupe charnue, sans pour autant être disgracieuse ni complexée, car elle n’était pas ennemie du décolleté plongeant et du pantalon moulant. Valentin avait rapidement tenté de la séduire, mais quand il se montrait trop pressant, elle levait sa main gauche pour lui montrer son alliance, d’un air de dire : « Mon pauvre ami, tu vois bien que je suis prise ».
    
    Mais à la quarantaine, une femme connaît parfois des déboires conjugaux et c’était justement le cas d’Agnès depuis quelques semaines. Alerté par son visage chiffonné et l’amertume de sa bouche, Valentin avait fini par lui faire avouer que son mari l’avait larguée pour une jeunesse, maigre de surcroît. Depuis, il faisait son siège et sentait sa résistance, un rien méprisante, s’amollir de jour en jour. Il lui avait vicieusement instillé l’idée de se venger en cherchant un homme plus jeune sans pour autant se désigner lui-même, pas si bête. Mais il attendait son heure.
    
    L’expérience lui avait cependant appris à ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. L’autre « objectif » s’appelait Sandrine, aussi mince, grande, et blonde, que l’autre était replète, courte, et brune. Elle évoluait dans ce que Valentin considérait comme le ...
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