Ebats picturaux (1)
Datte: 12/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: LESCAUX, Source: Xstory
=Fantasmes picturaux
Ils s’étaient retrouvés tous les quatre pour un pique-nique organisé par Edouard Manet. Après avoir demandé à Victorine, son modèle préféré, de se déshabiller pour poser, ce qui donna le célèbre tableau « Le déjeuner sur l’herbe », dans lequel la jeune femme était nue au côté du frère et du beau-frère de Manet, et fait quelques croquis, il était parti.
— Vous n’avez pas trop chaud les garçons ? Par cette chaleur, vous devriez vous mettre à l’aise !
— Pas question ! Déjà que ce tableau fera scandale. Si en plus on y voyait deux hommes nus, ce serait l’émeute.
— Décidément, Edouard exagère de nous laisser là. Victorine, ça te plairait qu’on fasse un petit tour tous les deux ?
— Que dirait ton frère ? Tu sais bien qu’il est très jaloux et déteste que ses modèles lui faussent compagnie.
— Elle a raison, Edouard est insupportable. Quand j’ai demandé à Alexandrine de poser pour moi, il s’est mis dans une colère noire. D’ailleurs, que fait-elle là-bas ? Elle se baigne ? Eh ! Reviens ici !
— Laisse-la. On n’est pas bien tous les trois ? C’est vrai qu’il fait chaud. Je ferais bien comme toi, Victorine, qu’en penses-tu ?
— Edouard ne va pas tarder et il serait furieux s’il te voit à poil, en plus avec Victorine toute nue. C’est vrai que cela pourrait laisser croire que... Mais, qu’est-ce que je dis là ? Je m’égare. C’est le pique-nique. Le poulet était exquis, surtout ses belles cuisses. Heu, enfin... c’est toi qui l’as cuisiné ?
— Oui, ...
... hier, à la demande d’Edouard. Mais, pourquoi ne revient-il pas ?
— Et excellente cuisinière en plus. Ce que j’ai adoré c’est ce cou, si tendre, et la poitrine, le blanc de sa poitrine, du poulet, évidemment ! Allez, je me déshabille, moi aussi. Victorine, tu ne veux pas t’approcher encore un peu ?
Victorine avait un faible pour Théodore Manet, car, secrètement amoureuse d’Edouard et sachant que celui-ci n’était pas intéressé, elle projetait ses désirs sur son frère, maintenant complètement nu.
Elle aurait tant aimé qu’Edouard, peintre sublime, lui fasse l’amour. Mais, il semblait insensible à ses désirs, même lorsqu’elle était nue debout dans son atelier et qu’il s’approchait en lui disant d’ouvrir les jambes pour mieux voir sa fente. Il la détaillait, tandis qu’elle sentait l’excitation monter en elle. Il observait ses parties génitales avec un œil professionnel, pour la dessiner ensuite dans ses tableaux. Parfois, il humectait son doigt et écartait ses poils pubiens. Il ouvrait ses grandes lèvres, qu’elle sentait se gonfler peu à peu, pour mieux voir les petites lèvres en dessous et la légère protubérance de son clitoris.
Comme elle aurait voulu qu’il entre un doigt dans son vagin et qu’il fouille dans ses chairs humides, qu’il la renverse sur le divan en lui ouvrant les cuisses et qu’il y plonge la tête afin de lui lécher le sexe. Alors, elle s’offrirait à lui, pantelante et avide, attendant qu’il sorte sa verge de son pantalon et qu’il la lui enfonce dans la ...