1. Fantasme... rêve et réalité... lui


    Datte: 11/06/2023, Catégories: h, fh, extraoffre, cocus, grossexe, vacances, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio, confession, candaul, Auteur: Oldtimesfriend, Source: Revebebe

    ... glisser son sexe sur ce long membre tout nouveau.
    
    Je devine une nouvelle fois à ses gémissements prononcés que son plaisir est intense… probablement bien plus intense que lorsque c’est mon modeste sexe qui la prend, et qu’elle se fiche sur moi, à se frotter le clitoris tout en m’emprisonnant délicieusement dans une étreinte humide.
    
    Le gémissement est long…
    
    — Mon Dieu que c’est bon, souffle-t-elle.
    
    Décidément je ne la savais pas si religieuse…
    
    Et re belote…
    
    Crescendo progressif des gémissements qui deviennent des cris, l’homme accompagne à présent bruyamment son plaisir.
    
    Il doit la maintenir par les hanches, se délecter du spectacle de son superbe buste, de la douceur de sa peau, de son si beau visage déformé par le plaisir, de la voir s’élever puis faire remonter le sexe au bord de la sortie avant de replonger dessus en recommencer dans un infini mouvement de bonheur.
    
    Elle gémit, elle crie, l’encourage par ses « oui » incessants… en français… et de nouveau les mêmes bruits de claquements, les râles étouffés chaque fois qu’il percute le tréfond de son intimité.
    
    Elle perd à nouveau totalement contrôle :
    
    — Viens maintenant, viens (toujours en français).
    
    Me sentir jouir en elle est souvent l’élément achevant le processus jouissif.
    
    L’homme se joint à ses cris d’extase et alors qu’elle jouit pour la troisième fois, je devine qu’il vient en même temps, lâchant un « han » venu d’ailleurs, parfaitement évocateur, achevant ainsi une étreinte ...
    ... intense et royale.
    
    Je suis tétanisé sur mon lit, paralysé, le regard dans le vide, le cerveau explosé par une telle confusion de sentiments.
    
    Je crois que c’est irréel, je suis parti dans un autre monde, j’ai perdu le contrôle de moi-même, de mes sens, de mon bon sens, de mes envies, de mes peurs
    
    Les bruits se sont éteints, je ne perçois que leurs essoufflements respectifs… je la vois effondrée sur lui, trempée de sueur, le regard vide, ce sexe ramollissant fiché en elle… trop long pour s’en extirper de lui-même…
    
    Je ne veux plus entendre, je ne veux plus être le témoin complice de ce que j’ai voulu, de ce que j’ai demandé, quémandé même… mais je ne parviens pas à appuyer sur le bouton rouge qui mettrait un terme à ce qui est devenu un véritable calvaire pour moi.
    
    La voix masculine brise le silence…
    
    — Tu as été terrible, lâche-t-il, encore essoufflé.
    
    Elle rit, nerveusement…
    
    — C’est toi qui m’a tuée… je n’ai jamais ressenti ça avant, je n’ai jamais joui comme ça de ma vie… surtout pour une première fois…
    
    Ça doit être vrai, vu qu’elle semble avoir oublié le fait que j’entendais tout… sinon, elle aurait au moins ménagé ma sensibilité.
    
    C’est trop pour moi, ça fait trop mal, depuis que j’ai éjaculé, le plaisir a été remplacé par la douleur, par l’abrutissement total et l’incompréhension… Bien fait pour moi, je l’ai bien cherché… mais je ne pourrai décidément rien lui reprocher.
    
    Je coupe et je me retrouve seul abasourdi, confronté à ma réalité, ma femme ...
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