Ma vie comme dans un X des années 70 (4)
Datte: 10/06/2023,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: luc_marie92, Source: Xstory
... échauffée, dit que la cuisine créole la met toujours en un drôle d’état, elle rit, on voit son allusion à cent mètres, mais sommes-nous là pour finasser ? Non.
Les deux femmes sont sur le canapé. Elles badinent et se complimentent mutuellement. Chantal un peu plus directive, privilège de l’âge et de l’expérience, se rapproche, et Corinne se laisse envisager, souriante. Un compliment bien tourné sur son parfum - du Guerlain ? – suffit à la rendre disponible à la drague de son aînée.
— Corinne, je pense que ton chéri (c’est de moi qu’on parle) t’a dit comme je te trouve superbe ? En tout cas, s’il ne te l’a pas dit, je précise que ce soir plus encore que d’habitude. J’adore ton chemisier... je me demande s’il m’irait bien ?
— Tu veux l’essayer ?
Corinne se retrouve en soutien-gorge. Balconnet rouge, qui met en valeur son joli 95C. Chantal la complimente, ah si sa poitrine se tenait aussi bien, elle aussi défait son « haut ». Soutif noir.
— Interdit de regarder, toi ! C’est la minute « entre amies ».
— Oui, bois ton rhum et tais-toi...
Elles rient, mais personnellement, je n’ai plus envie de rire quand je les vois l’une caressant les seins de l’autre, et approchant ses lèvres. Elles y vont en douceur. Mais sûre d’elle, Chantal a pris l’ascendant. Corinne se laisse faire, mais ses mains se posent aussi sur le cou et le sein de celle qu’elle l’embrasse sur la bouche pour la première fois. Sa première avec une femme. Et moi qui ne dis rien...
Ne mentons ...
... pas, je passerai dans cette soirée par toutes les phases qui font le fantasme classique des deux amies s’offrant des émois bisexuels. Les voir se lever. L’une enlever la jupe de l’autre, puis la sienne. Toutes deux sont en porte-jarretelles et bas, couleurs assorties à leur soutien-gorge. J’aimerais préciser que Corinne est plus timide, plus gauche dans ses gestes, mais ce n’est pas vrai. Elle s’enhardit, c’est elle qui la première dégrafe le soutif, les seins de Chantal ont bien plus de prestance que ce qu’elle annonçait. Ses tétons dardent bien. Elle demandera du reste à Corinne de les lui sucer. Les mains de l’une et l’autre vont partout sur le corps adverse, c’est un jeu tendre et calme qui vire bientôt vers plus de vivacité. Les gémissements, les petits soupirs, les mots chuchotés, tout participe à mon excitation...
... Mais pourtant, je ne bande pas. Mes jambes tremblent d’émotion. Ma femme « se gouine » sous mes yeux, pardon pour l’expression, c’est celle qu’on utilise à l’époque. Elles descendent leurs culottes, en lentes caresses, et bientôt les deux offrent à mes regards deux toisons fournies, naturelles, magnifiquement triangulaires et bouclées, qui appellent les doigts.
Bientôt, Corinne est allongée sur le canapé et Chantal lui gahamuche le con, pour le dire avec les mots du Divin Marquis. Les soupirs de ma compagne manifestent son bien-être, je ne ressens en moi aucune crainte, aucune jalousie, juste le bonheur de voir un fantasme se réaliser, mais pourquoi ...