1. Le coiffeur de ces dames (3)


    Datte: 10/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    Le coiffeur de ces dames. 3
    
    Barbara :
    
    Odette puis Diane passent chacune à leur tour au rasage. J’avais peur d’arriver après la guerre, mais je trouve le jeune homme toujours au « garde-à-vous ». Je pousse un « Oh » de surprise en voyant l’engin. Un bon point pour lui. A mon tour, je referme mes doigts autour de la longue tige de chair extraordinairement bandée de ce dernier.
    
    Je n’aurais pas cru qu’il banderait encore comme un turc et la vue du gland rose et gonflé me décide à entreprendre une fellation en règle. L’avantage de passer en troisième, c’est que ce « chaud lapin » est un peu moins speed. J’ai vite la culotte trempée.
    
    Suite :
    
    — Tu sais, ta teub est vraiment... impressionnante. Pas comme celle de mon mari.
    
    Son gland est énorme, presque entièrement décalotté, et l’arrogance de cette virilité dressée est impressionnante. J’entoure d’une main ce sexe dont le gland frôle son ventre au-dessus du nombril.
    
    Je branle « la bête » et malaxe ses énormes boules poilues. Je remonte la main le long du gland, serre fort le membre, m’appliquant à tirer la peau du prépuce complètement vers le bas à la limite de la résistance du frein pour caresser le mufle nu.
    
    Son gland est violet. Dominique a un spasme plus accentué, annonciateur d’une nouvelle jouissance due à la masturbation et la fellation qu’il subit.
    
    Il ne peut plus rester aussi zen, détaché de ce qui se passe en dessous de sa ceinture. Dominique se retire du brulot de ma bouche et se branle comme un ...
    ... fou, pointant son gland à quelques millimètres de mon visage. Il a abaissé son membre, non sans difficulté, car toujours d’une raideur stupéfiante, jusqu’à l’horizontale. L’engin se met enfin à gicler et malgré ses jouissances précédentes, il m’inonde copieusement. Son premier jet est si puissant qu’il passe au-dessus de ma tête et englue mes cheveux. Ça va être coton à nettoyer avant de sortir du salon.
    
    — Merde ! Tu aurais pu faire attention !
    
    Mais il ne m’entend plus, ses jets encore d’une puissance folle malgré ses précédentes éjaculations, s’envolent de son chibre et maculent de traînées mon visage. Je suis littéralement couverte de foutre.
    
    Dominique rigole comme un bossu, sa main tenant son calibre qui fléchit enfin. Il sait qu’il doit faire attention à l’heure, les séances de « maillots »prenant régulièrement de plus en plus de temps. Ça risque à force de devenir bizarre.
    
    Dominique :
    
    Je savais bien que ça venait de plus en plus scabreux et je dois dire même que je suis heureux que vous vous en soyez rendu compte. Au début, j’ai été pris de court, mais plus ça allait, plus j’ai pris d’emprise sur ces « suceuses ». J’ai maintenant une collection de numéros de téléphone, car certaines voudraient aller beaucoup plus loin, mais je n’ai jamais osé. Si je commence avec une, je sais très bien qu’il ne faudra pas beaucoup de temps pour qu’elles soient toutes au courant.
    
    Sonia :
    
    Je dois dire que je lui donne raison. J’ai déjà eu à faire à son père, Patrick, ...
«123»