Nous étions quatre.... Mélanie, Pierre, Hélène et moi !! (1) - Histoires de Sexe

Nous étions quatre.... Mélanie, Pierre, Hélène et moi !! (1)

... vers son petit bouton. Je m’appliquais à lui offrir un bon moment en plongeant ma langue en elle, c’était très intense. J’apercevais Hélène à côté qui procurait tant de plaisir à Pierre, j’avais cette drôle d’impression d’être encore plus proche d’elle à ce moment-là, alors qu’elle avait un autre homme à pleine bouche et moi entre les cuisses de Mélanie.

D’un coup, Hélène se releva lorsqu’elle me vit entre les cuisses de Mélanie qui se caressait les seins.

— Hé bien hé bien, je vais prendre un verre moi !!!

Hélène était un peu prise au dépourvu et perdue, c’était sûrement allé un peu vite pour elle.

— Moi aussi !! répondit Mélanie.

Les filles se levèrent et prirent la direction de la cuisine. C’était un peu bizarre et soudain, mais bon en tout cas avec Pierre, on ne disait et on ne se disait rien.

Une phrase toute pourrie me vint :

— Dans mes souvenirs, tous les bains de minuit ne finissent pas comme ça...

En réponse à cela, Pierre rétorquait :

— Je prendrais bien un autre verre moi aussi.

Nous étions tous assis sur les canapés sous le haut vent. Les réactions à chaud étaient plutôt timides, comme si tout le monde avait plein de choses en tête. En se retrouvant dans la chambre, nous discutions un peu avec Hélène sans vraiment trop, mais nous avions le sourire. Elle m’a demandé ce que j’en pensais et je lui ai répondu que c’était intimidant, effrayant, sympa, hyper-excitant. On se demandait si c’était ...

... l’alcool qui nous avait débridés ou l’envie de la découverte ou le contexte... On en a conclu que c’était surtout l’ensemble. En discutant, nous avions décidé de laisser venir pour la suite, mais que rien n’était fermé. A l’époque, nous nous étions dit la fameuse phrase "ce qui se passe en vacances reste en vacances". Et que si cela devait se reproduire, tant mieux et peu importe les circonstances. Nous étions donc sur la même longueur d’onde.

Mais ce soir-là, nous avions quand même eu du mal à dormir et étant donné qu’il faisait très chaud, nous sommes retournés dehors avec Hélène pour discuter.

Je disais à ma compagne l’effet très excitant que j’avais ressenti de la sentir désirée par un autre homme et elle me répondait qu’elle avait adoré également procurer cet effet.

Cette soirée et avec l’effet de surprise, nous sommes tous un peu restés sur notre faim, car nous nous sommes contentés de légers préliminaires. Du coup avec Hélène, nous avons parlé un peu de la suite.

— Tu as envie de plus ?

— C’est mal ?

— Tant que tu m’aimes et que c’est juste pour les vacances, après j’en sais trop rien.

Mais nous ne savions pas ce que nos amis ont pensé réellement de la soirée, et ce qu’ils envisageaient à ce moment-là. Même si a priori, ils ne regrettaient pas vu les réactions à chaud.

Il restait encore quelques jours de vacances et je me demandais à ce moment-là de la tournure de la fin des vacances.

A suivre...