Le Manoir des Vices (6) - Histoires de Sexe

Le Manoir des Vices (6)

Point de vue de Ian

C’est décidément la meilleure nuit de ma vie. Voir Mathieu souffrir sous mes coups et jouir grâce à la langue si habile d’Emilie m’a excité à bloc et je suis loin d’en avoir fini avec lui. Je le détache et l’allonge au sol devant le pilori, plaçant sa tête et ses avant-bras dans les trous prévus à cet effet. Comme il est inconscient, il s’affale au sol. Je verrouille le cadenas fermant les deux planches de bois avant de m’agenouiller devant la tête de Mathieu, frottant mon gland suintant sur tout son visage.

— Mathieu, susurre-je doucement. Il est temps de se réveiller...

Il ouvre péniblement les yeux et je le vois essayer de se reculer lorsqu’il voit mon sexe dressé juste devant ses yeux. Mais le pilori remplit son office et il ne peut bouger.

— Arrête ça putain ! me hurle-t-il dessus.

Tiens apparemment, il reprend un peu de poil de la bête comparé à ses pleurnicheries de tout à l’heure.

Tant mieux, ça sera d’autant plus amusant.

— Emilie, veux-tu bien préparer notre ami pour la suite ? dis-je en désignant ses fesses.

— Avec joie.

Tel un serpent, elle se coule au sol et écarte les fesses de Mathieu avec ses mains avant de darder sa langue et de l’enfoncer dans l’anus de Mathieu.

— Mais qu’est-ce que tu fais espèce de taré ! hurle-t-il en se rebiffant, jouant des jambes pour repousser Emilie.

Celle-ci se prend un coup de pied dans le bras et aussitôt, son regard flamboie.

— Oh, Monsieur se rebiffe. Maître, puis-je le ...

... punir ?

— Bien sûr ma belle. Il le mérite effectivement. Tu n’as pas honte de toi Mathieu, on ne t’a pas appris à ne pas frapper les femmes ?

— Dégagez bandes de tarés ! Laissez-moi partir !

— Oh, tu parles trop...

Pinçant son nez, Mathieu est forcé d’ouvrir la bouche pour respirer et c’est alors que j’enfonce ma verge à l’intérieur. Il écarquille les yeux et remue la tête pour la faire sortir mais de mon autre main, je le maintien bien en place.

— Cesse donc de te débattre. Tu pourrais prendre du plaisir tu sais. Si tu te laissais faire gentiment...

— Hmmpff, hmmmmmpf !

— Tu es très mal éduqué décidément. On ne parle pas la bouche pleine. Et au fait, mieux vaut pour toi que je ne sente pas tes dents.

Doucement, je commence à remuer le bassin pour enfoncer et sortir doucement ma verge dure comme du béton de sa bouche. Il a les larmes aux yeux et je jubile de cette situation.

Pendant ce temps, Emilie s’est emparé d’une barre de fer munie de deux bracelets à chaque extrémité, cela sera parfait pour lui immobiliser les jambes. Je m’enfonce profondément dans sa bouche et alors que je le sens sur le point de défaillir, je me retire d’un coup, le laissant reprendre son souffle. D’épais filets de salive dégoulinent de ma verge et de sa bouche tandis que je m’essuie sur son visage ébahi.

— J’abandonne, murmure-t-il.

— Pardon ?

— J’abandonne. Faites ce que vous voulez. J’arrête de lutter...

— Et bien voilà ! dis-je en jubilant. Tu vois quand tu ...