Chère lectrice rousse aux petits seins
Datte: 08/06/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Mysterious1991, Source: Hds
... bon d’être en toi, Candide. Ça aussi, j’en ai rêvé et pas qu’une fois. Oh… non. Tout ce qu’on vit tous les deux aujourd’hui dans cette jolie chambre propice à la sensualité, à la découverte des corps, aux plaisirs de la chair et aux coquineries, je me le suis visualisé dans mon imagination libidineuse fertile… et je l’ai enregistré précieusement dans mon cortex coquin. Seul, je pensais à toi, je n’avais qu’à mettre le film en route et je me donnais du plaisir. Par contre, je reconnais qu’être seul, ce n’est pas du tout la même chose. Tu es tellement mouillée, Candice. Te lécher… Te pénétrer d’un, de deux doigts… Te parler du désir et de l’envie que j’avais pour toi… Je suis allongé sur toi à présent et je vais, je viens. Je vais, je viens. Je vais et je viens entre tes reins, Candice. C’est pour de vrai. Tu ne rêves pas. Tes yeux brillent. Tu es belle. Je suis à toi, je suis en toi. Tu es à moi, tu me mets dans tous mes états. Ne pensons à rien. Prolongeons la magie…
(…)
Je suis sur le dos à mon tour. Toi, tu montes et tu descends sur mon sexe. Je t’accompagne dans tes mouvements. Ce que je vois me plaît, m’émoustille. Ça m’excite, ça me rend fou de te voir prendre ton pied comme tu le fais. Tu es sexy, Candice. Oh… oui. Continue de bouger sur moi. Ton ...
... vagin et mon pénis se complètent. Nous ne faisons plus qu’un. Tes longs cheveux sont lâchés et ils bougent dans tous les sens, de fil en aiguille. Ça te donne un côté… sauvage. Plus nous faisons l’amour, plus je remarque que tu transpires. Plus tu t’empales sur moi, et plus tes tétons sont allongés. Candice… Je remonte mes mains qui sont posées jusque-là sur tes côtes. Là. Je les pose sur tes deux petits seins tout mignons…
(…)
De fil en aiguille, nous prenons notre pied ensemble. J’aime faire l’amour avec toi, Candice. Oh… oui. Qu’est-ce que j’aime ça… Tu es à quatre pattes sur le lit et je te prends désormais par-derrière. Ton cul est émoustillant et tu es on-ne-peut-plus humide. Mes deux mains reposent sur tes fesses et je les malaxe. Je les écarte. Je vois par ailleurs ton anus qui me tenterait bien. Je vais et je vais bien dans ton vagin qui a bien éclos. Toi, sous l’effet, sous l’emprise du plaisir qui te ravage et qui te brûle à petit feu, tu sers la couette fort et tu t’y agrippes. Tu es une sauvageonne, une femme insatiable. J’aime ça. Je m’allonge sur toi et mon torse se colle à ton dos. Je t’embrasse. Je te prends plus fort. Tu gémis, tu cries. Ton corps se raidit. Tu pousses un cri libérateur. Tu t’effondres sur le lit, épuisée. Tu viens de jouir...