1. Happy birthday !


    Datte: 09/09/2018, Catégories: grp, extraoffre, anniversai, Oral jeu, Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... continuent dans un rythme excessivement lent. Et à chaque fois, je devine plus que je ne vois. Quand je pense pouvoir reconnaître un visage, je m’aperçois qu’il est masqué. Une scène m’impressionne tout de même. Des fesses se font fouetter ; ce n’est pas du cinéma : je vois les zébrures. Mais aucun cri ne s’échappe. Et puis, d’autres moments me surprennent tout autant : deux femmes tête-bêche qui se lèchent mutuellement. Deux hommes se tenant par la verge… Impossible de distinguer les visages…
    
    Progressivement tout de même mes pupilles s’habituent à l’obscurité. Par exemple, je vois nettement qu’on pose une coupelle sur le sol et qu’une fille vient s’accroupir de dos. Je suis sûr maintenant que c’est Sabine. Elle adore pisser de cette façon et elle aime être surprise dans cette position. Je me souviens que cet été elle avait attiré de cette façon les voyeurs et cela l’avait follement amusée. Je lui crie :
    
    — Sabine, je sais que c’est toi !
    
    Et aussitôt une voix tout près de mon oreille me susurre :
    
    — Tu es sûr ?
    
    Non, Sabine est tout contre moi et m’entraîne ; ce n’était pas elle ! Elle m’allonge sur un matelas. On me bande les yeux maintenant. C’est le comble ! Enfin, nous baisons, et j’imagine sous le regard des quatre autres… Elle se retourne pour que je la prenne en levrette. Pas de sodomie, mais je lui caresse tout doucement l’anus en lui disant doucement :
    
    — Tu aimes ça, n’est-ce pas ?
    
    Et de nouveau la voix de Sabine derrière moi :
    
    — Tu sais très ...
    ... bien que j’aime ça.
    
    Mais alors avec qui forniquais-je ? C’était à devenir fou !
    
    Puis tout s’est apaisé. J’entendais quelques préparatifs dans l’acoustique étouffée de cette grande boîte noire. On me libéra les mains et une coupe de champagne m’a de nouveau été présentée, que j’ai bue avec délice. La musique reprit, érigeant la décontraction d’Eric Satie en toile de fond. Tout semblait redevenir baudelairien : luxe, calme et volupté. Je n’avais plus conscience de mon érection. Quelques caresses venaient me redonner vigueur quand probablement j’en manquais. Je pensais qu’on allait en douceur vers la fin de la soirée, qui resterait fortement imprimée dans les mémoires.
    
    Mais c’est alors que l’atmosphère allait encore une fois changer du tout au tout. D’abord, la musique cessa et on me posa un bâillon-boule un peu agressif de façon à ne plus m’entendre poser de questions ; en tout cas, c’est que j’en déduisis. Puis je sentis un liquide froid sur mon anus, un gel lubrifiant, et bientôt un doigt s’introduisit. Il n’y avait rien là d’excitant, d’autant qu’il ne s’agissait rien de plus que de me diriger de cette manière un peu humiliante. On n’entendait plus que mes pas hésitants qui frottaient le carrelage. Arrivé au bout d’un parcours qui me parut interminable, on m’ôta le bandeau que j’avais sur les yeux et le doigt que j’avais dans le fondement. Le temps de m’habituer à la nouvelle luminosité, je découvris un carré découpé dans un châssis, et dans ce carré : stupeur ! Une ...