Jeanneton prend sa faucille
Datte: 07/06/2023,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
occasion,
Auteur: Pericles, Source: Revebebe
... intime-t-elle
Galant, tout autant qu’excité, il obéit. Il la caresse, puis roule doucement les tétons de Jeanne entre ses doigts pendant qu’elle, à cheval, saute encore et encore sur ce pieu d’airain qui la pénètre, rebondissant sur les cuisses du jeune homme, enivrée de plaisir, tout simplement heureuse. Elle tient sa tête droite, la bouche grande ouverte et les yeux fermés. Ses cheveux blonds volent dans tous les sens. Elle est concentrée sur son plaisir, sur cette symphonie de sensations qui lui viennent de ses tétons martyrisés, de son clitoris surchauffé par le frottement, de sa chatte dégoulinante de cyprine. Rien d’autre ne compte plus pour elle. Elle sent que Victor ne va plus tenir très longtemps, qu’il va exploser. Ses hanches commencent à perdre le rythme qu’elle impose, se préparant à l’orgasme. Elle sait reconnaître quand il va jouir.
Et dans un dernier déchaînement effréné, elle l’amène à la jouissance. Il se met à grogner, projette ses hanches vers le haut pour la pénétrer profondément et elle sent son sperme chaud l’éclabousser à l’intérieur, la remplissant totalement. Elle continue à bouger un peu, mais elle essaie de le garder profondément enfoui en elle, drainant toutes ses dernières ressources. Elle adore cette sensation d’un sexe qui pulse dans son vagin, projetant ses dernières réserves de sperme au tréfonds de son intimité.
Ses tétons distendus, sa bouche ...
... tétanisée sur un rictus de plaisir et le voile humide de ses yeux témoignent du plaisir qu’elle aussi a de nouveau éprouvé, l’accompagnant dans cet orgasme partagé.
Elle s’écroule sur lui, et pendant de longues minutes, ni l’un ni l’autre n’esquisse le moindre mouvement, leurs souffles s’apaisant peu à peu, pendant qu’ils se laissent aller à ce bonheur si simple de se sentir peau contre peau, leurs sexes encore imbriqués l’un dans l’autre. Ils ne parlent pas, leur bonheur est muet, indicible.
Enfin, soudain soucieuse de ce que quelqu’un pourrait les surprendre, elle se relève et la queue de son amant glisse, gluante de leurs sécrétions partagées, hors d’elle.
Elle court dans le bassin pour faire un peu de toilette. Comme il l’a rejointe, tendrement elle nettoie sa queue, finissant la toilette par un petit coup de langue sur l’organe ramollissant.
— Tu reviens avec moi, à la maison ?
Ce qu’ils se dirent en rentrant lentement au mas n’est pas dit dans ce récit, mais bien plus tard, Jeanne se remémorera que ce fugace instant de bonheur partagé fut la première pierre d’un édifice qu’ensemble ils construisirent pendant très longtemps.
La morale de cette histoire, c’est que si les hommes sont des cochons, les femmes aiment les cochons !
PS : Si vous voulez savoir à quoi ressemble le petit bassin où les deux amants se baignent : https://www.youtube.com/watch?v=PSQLqPb1mj0, à partir de 2:47.