La jupe (12)
Datte: 07/06/2023,
Catégories:
Hétéro
Auteur: trolive, Source: Xstory
... corps, je l’accompagnai lentement.
— hmmmm hmmmm fit-elle à chaque mouvement.
— Nadine...Arrête, ne bouge plus, je vais jouir... c’est trop bon... lui lançai-je à deux doigts de lâcher mon jus dans sa chatte.
— Ne t’inquiète pas, je prends la pilule... dit-elle me regardant dans les yeux en reprenant sa lancinante cadence de bassin.
J’accélérai alors mes coups de reins.
— Ohhhh... mmmmhhmmmm... je jouiiiiis... fis-je en giclant ma semence au fond de son vagin. Je sentis ma pine pulser de long jet de foutre. Mon orgasme fut divin. Nadine m’observait jouir en elle. Ses yeux brillaient entre larmes et plaisir.
Je l’embrassai à nouveau à pleine bouche, mon sexe toujours en elle.
— Je suis heureuse, Daniel...
Nous restâmes un bon moment ainsi soudés par nos sexes et nos baisers, puis sa chatte expulsa ma bite. Je m’allongeai à ses côtés et je caressai de longs instants son corps.
— Ca coule, Je crois qu’on a salit les draps, constata-t-elle pragmatique. En effet, une auréole de mouille, de sperme et de sang tachaient le linge entre ses jambes.
— Je peux prendre une douche? me demanda-t-elle.
Pendant que l’eau ...
... coulait sur son corps, je restai allongé le regard perdu au plafond."Mon dieu, que c’est bon aussi d’avoir sa bite dans une chatte, c’est si doux,si chaud, si serré" pensai-je.
Une nouvelle fois, je me sentais perdu. J’aimais sucer une queue et lécher une vulve, me faire enculer par un mec et baiser une femme. Ce n’est que plus tard que je sus faire la part des choses, lorsque je compris ce qui m’attirait véritablement chez eux ou chez elles.
— Tu me raccompagnes ? lança-t-elle en enfilant sa petite culotte.
— Tu peux rester dormir avec moi, si tu veux répondis-je
— Non, non, c’est gentil mais je crois que je ne vais pas dormir beaucoup si je reste et demain je dois préparer mes bagages, nous rentrons (ses parents et sa soeur) chez nous.
Curieusement, malgré le fait que ses parents possédassent toujours leur résidence secondaire à quelques centaines de mètres de chez moi, je ne croisai plus jamais Nadine dans mon village. Je ne la revis que 20 ans plus tard, par hasard, lorsqu’en panne de voiture, cherchant un téléphone pour appeler un garagiste, je toquai à la porte de sa demeure. Elle était mariée et avait quatre enfants.