Action ou vérité avec mon crush.
Datte: 06/06/2023,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Al3x, Source: Hds
... guise. Mon amante commença à gémir sous mes bons soins, contractant ses doigts inconsciemment dans mes cheveux. Je commençai par passer ma langue sur le moindre centimètre de sa peau. Peu à peu, ses grosses lèvres comme ses petites lèvres l’avaient rencontrée, et attendaient toutes son retour. Une fois que son sexe ne fut plus uniquement trempée de sa cyprine, mais aussi de ma salive, je changeai de façon de faire. Je plaçai mes lèvres autour de son bouton de plaisir, puis vins le titiller de bout de la langue. Sa réaction fut immédiate, elle eut une sorte de spasme et se mit à gémir de plus belle. Après quelques instants, je laissai ma langue se reposer, en me mettant à sucer son clito plutôt qu’à le lécher. Cela eut l’air de lui plaire, du moins était-ce ce que les ondulations involontaires de son bassin et les sons qu’elle émettait laissaient comprendre. Sentant qu’elle était de plus en plus proche de la jouissance, son corps brûlant de désir étant particulièrement sensible et prêt à un grand plaisir, ma langue s’activa à nouveau sur son bouton gorgé de sang tandis que que je continuais de l’aspirer dans ma bouche. L’effet que je souhaitais ne fut pas long à arriver : elle serra tellement les cuisses autour de ma tête que je n’aurais pu m’échapper si je l’avais voulu, et les gémissement ressemblèrent de plus en plus à des cris, jusqu’à-ce que tout son corps et son esprit se perdent dans un orgasme qui semblait particulièrement puissant, étant donné ses expressions de ...
... plaisir et les spasmes qui agitaient tout son corps. Je continuai mes mouvements avec toujours plus de passion pendant de longues secondes, ma tête dans l’étau de ses cuisses et de ses bras, jusqu’à ce qu’elle lâche peu à peu son emprise et que son corps cesse de s’agiter. Sachant qu’elle deviendrait particulièrement sensible après cet orgasme, je ralentis puis arrêtai mon cunnilingus, relevant la tête pour l’observer. Nous étions tous deux essoufflés, reprenant notre respiration en rythme, nos corps nus se couvrant peu à peu de sueur dans ce moment torride. J’adorais l’odeur de sexualité qui embaumait la pièce, et mon pieux, dur comme fer, attendait lui aussi son tour. Entre ses jambes, j’avais oublié notre jeu sans même en avoir conscience, et soit elle décida de profiter de sa victoire, soit elle n’y pensait plus elle non plus. C’est une voix essoufflée et un regard fiévreux de désir qui me dit :
« T’es doué, putain… A mon tour, maintenant. »
Elle commença d’abord par se pencher, attrapant une capote dans sa table de chevet, puis vint vers moi, qui étais assis sur mes genoux. Je ne répondis rien, attendant de voir ce qu’elle voulait faire, et une fois qu’elle fut à ma hauteur, elle se pencha comme pour mieux voir mon pénis, et y plaça ses deux mains. Je tressaillis sous son contact, et elle releva le regard vers moi :
« Comment tu fais pour tenir aussi longtemps ? C’est la première fois que je vois ça…
- Tu te souviens, quand je te disais que tu étais bandante ? ...