La Prêtresse de la Pureté Ch. 02
Datte: 09/09/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byBen_Clover, Source: Literotica
... qu'il puisse appuyer pour la cambrer contre la table, elle rugit.
— Non, espèce de... (Elle ravala son insulte de justesse.) Enlevez vos putains de mains!
Dans un réflexe né d'années d'entrainement, son coude parti brutalement en arrière et percuta le flan du prince qui grogna de surprise et douleur mêlée. Il l'avait mal jaugée en pensant qu'elle ne pousserait pas sa réticence jusqu'à la violence. Malheureusement pour elle, l'impact ne fit que raffermir sa détermination. Plus que jamais, il voulait punir l'arrogante. Il lui saisit un bras, le tordit dans son dos avant d'agripper sa nuque pour forcer son oreille à sa bouche.
— Il semblerait que vous soyez trop stupide pour comprendre le principe de succession. Pensiez-vous vraiment que mon père serait toujours là pour vous protéger? Je vais devoir vous rappeler votre place.
— Sale enfoiré de pervers de merde, rugit de plus belle Imda. Étouffez-vous sur la bite d'Oldan.
Le prince ne chercha pas à la faire taire. La rage de la maréchale propulsait son désir vers de nouveaux sommets. Malgré ses ruades, elle était plus petite qu'Arlor et avec son bras pris en clé, il avait l'avantage de la position. Il la soupçonnait également, après son assaut initial né de ses réflexes bien huilés, de ne pas mettre autant de force qu'une guerrière expérimentée pouvait exercer par peur de blesser le futur suzerain. Que ses actions soient justifiées ou non, verser le sang de la lignée des seigneurs-épée devant un parterre de ...
... généraux ouvrait à des châtiments autrement plus terrifiants. Il lui tordit encore un peu plus le bras.
— Arrêtez, je vous en prie Sire, tenta la maréchale. Je suis désolée. Vous êtes content?
Arlor avait dépassé le stade des excuses depuis bien longtemps. Entendre l'arrogante plaider sa cause ne fit que tendre encore plus son désir. D'une main experte, il déverrouilla la ceinture de la maréchale et fit glisser son haut de chausse le long de ses jambes. Une toison rousse dépassait entre ses cuisses musclées. De longues lèvres rose pâle très évasées visibles à travers. Il y avait quelque chose de sauvage dans l'anarchie de ces poils non entretenus, contrairement aux dames de la cour, qui excita d'autant plus le prince.
— Que quelqu'un l'arrête! Il n'a pas le droit, il n'a pas le droit!
Les conseillers autour de la table, pour la plupart habitués aux frasques du prince et à l'impulsivité de sa colère, faisaient leur possible pour se faire oublier. Arlor extirpa son sexe, découvrit son gland et d'un habile crachat, l'enduit de salive.
— Connard de fils de pute, dit Imda lorsqu'elle sentit le membre turgescent du prince se planter dans l'orée de sa délicate vulve.
— À partir de maintenant, rugit Arlor, je ne veux plus entendre que des cris sortir de votre bouche.
Pour appuyer son propos, il effectua une poussée brutale qui fit geindre la maréchale, l'amenant au bord des larmes. Son membre gorgé de désir et de rage distendit la chatte de la guerrière, ses lèvres ...