1. Mes jeunes et jolies voisines (2)


    Datte: 04/06/2023, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poussin libéré, Source: Xstory

    ... me branle de la main gauche. Je ne tarde pas à jouir et à ma grande surprise, elle ne retire pas ma bite de sa bouche, mais avale tout mon sperme. Puis elle me lèche consciencieusement la queue en me disant : "il ne faut pas laisser de traces, mais tu me dois un orgasme, on verra cela plus tard dans la journée".
    
    Elle range mon pénis dans mon short, se relève, ferme le lave-vaisselle, remet sa robe en place et retourne à l’extérieur comme si de rien n’était... personne ne peut savoir ce qui vient de se passer, ou presque. Je vois Sophie qui me regarde à travers la fenêtre avec un grand sourire, puis qui se passe la langue sur les lèvres... la journée risque d’être encore plus sympa que prévu...
    
    Après le repas, Elisabeth et Sophie s’excusent, mais elles ont du travail pour un examen à rattraper. Avant de partir, elles empilent les assiettes pour les emmener à la cuisine. En passant derrière moi, Sophie fait tomber un couvert. En le ramassant, elle me glisse à l’oreille : "Rejoins-nous si le cœur t’en dit". Je me concentre pour ne pas rougir ou pour montrer une quelconque réaction. Mais mon voisin d’en face me regarde d’un air surpris...
    
    Il s’appelle Victor, a une trentaine d’années, père de deux enfants qui ont le même âge que les miens. Il est plus grand que moi, mais nettement plus musclé, car il travaille sur les chantiers et fait beaucoup de sport. Nous nous entendons très bien et je le considère comme un de mes meilleurs amis. Même si je sais qu’il a été une fois ...
    ... infidèle à sa femme dans une fête un peu trop arrosée, je n’ai pas osé lui parler de mon aventure avec les deux coquines.
    
    Au bout d’une dizaine de minutes, je me lève et m’excuse à mon tour, je n’ai plus de cigares alors je vais vite à l’épicerie du village en acheter. Comme tout le monde a bien bu, j’irai à pied et personne ne se propose pour m’emmener. Cela me laisse une bonne heure. C’est alors que Victor se lève et propose de m’accompagner. C’est quelque fréquent, je ne peux donc pas lui refuser, mais comment faire. Nous rentrons dans la maison, c’est alors qu’il me demande :
    
    — Dis donc toi, t’as pas quelque chose à me dire.
    
    — Euh non, quoi...
    
    — Elle t’a dit quoi la petite à l’oreille tout à l’heure.
    
    — Hein, quoi, euh rien... (je crois que je me décompose. Si lui a vu ou entendu, peut-être que tout le monde l’a remarqué).
    
    — T’inquiète pas, c’est juste que je la matais quand elle est passée et que j’espérais voir un bout de sous-vêtements quand elle s’est penchée. Alors, elle a dit quoi.
    
    — Rien, juste qu’elle s’excusait.
    
    — Eh oh, pas à moi. Elle ne l’aurait pas dit avec cette lueur dans les yeux. Y a quoi entre vous ?
    
    — Entre nous, mais rien. Tu imagines quoi.
    
    — Rien, mais on peut demander à ta femme.
    
    — OK OK, calme, je te dis tout.
    
    Et là, je lui raconte ce qui s’est passé...
    
    — Ben mon cochon, les deux en plus. T’as du bol. Moi je n’aurai pas dit non non plus.
    
    Il me vient alors une idée, c’est fou, c’est pervers, mais ça m’excite ...