1. Damnation en Héritage


    Datte: 04/06/2023, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... que t'en penses ?
    
    — Elle sera adorable le minou complètement rasé. Je sais qu’elle a une jolie petite chatte, ce serait dommage de la cacher avec du vilain poil. »
    
    Comment ma sœur peut-elle dire ça ? Hier soir, elle était aux petits soins avec moi. Au dîner, elle avait cuisiné un pavé de saumon avec une sauce à l’oseille. Ce que j’adore ; et maintenant, elle va me raser la chatte pour que ces types odieux me baisent ?
    
    « T’as raison, répondit le directeur du supermarché. Mets-toi au travail, et dépêche-toi… je veux lui fourrer son con bien lisse. Et quand les poils repousseront, tu t’assureras de lui entretenir le minou pour qu’il soit identique au tien. Ce sera rigolo, vos deux abricots, côte à côte, identiques… »
    
    Juliette se met à asperger mes poils de mousse. Au même moment, le Bailli passe derrière elle et lui retire sa culotte. C’était une culotte en latex, dessus je peux voir de nombreuses marques blanches. Le responsable de la loi sur l’île enfonce son gourdin dans la chatte de ma grande sœur, sans lui demander si cela lui plaît. Pourtant elle miaule :
    
    « Oh Monsieur le Bailli, votre grosse bite m’a tellement manqué, j’adore quand vous venez me déglinguer la chatte. »
    
    Comment ma sœur peut-elle parler comme ça ? Elle surveille mon langage ; chaque fois que je dis un gros mot, elle me gronde en disant que pour étudier aux universités de Londres ou de Paris, je dois employer un vocabulaire soutenu. Son patron, lui, n’est pas surpris par sa vulgarité. Et ...
    ... il n’hésite pas à être ignoble avec elle :
    
    « De toute façon, on sait bien que ta chatte est toujours en manque. Tu mouilles déjà comme une chienne.
    
    — C’est vrai Monsieur, je suis désolée d’être une telle salope, je ne peux pas m’empêcher de tremper. »
    
    Qu’elle parle et qu’on la baise ne la gêne pas pour continuer à travailler sur moi. Le rasoir racle ma peau, et je suis étonnée que malgré les grands coups de reins que lui donne son patron, elle réussisse à garder un tel équilibre. Je me refuse à imaginer le nombre de fois où elle a dû subir cette situation pour conserver un tel calme.
    
    Le patron de Juliette est concentré sur sa foufoune et ne me porte aucune attention. Le Connétable et les autres hommes bavardent entre eux. Ils parlent de moi, discutant de l’ordre de passage dans mon con. Le Bailli explique que comme représentant de la loi, c’est sa prérogative de me fourrer en premier. Le Connétable, lui, avance qu’en tant que représentant élu de l’île, c’est lui qui est chargé de me dépuceler. Le patron du supermarché prétend que comme employeur, il a autorité sur moi pour ce qui est de me tringler.
    
    Je profite de leur engueulade pour murmurer à ma sœur : « Qu’est-ce qui passe ? Pourquoi tu--
    
    — On doit jouer le jeu, obéir, et tu donner l’impression d’aimer ça… ou tu te subiras un châtiment.
    
    — Dorothée… elle doit partir le plus tôt possible.
    
    — Impossible. Elle serait repérée, et une fois attrapée, elle serait punie. Rien que de l’avertir serait considéré ...