1. Le myrmidon et le serpent (1)


    Datte: 04/06/2023, Catégories: Erotique, Auteur: RazorCluster, Source: Xstory

    L’amour. Un si petit mot et une importance aussi capitale. Des guerres ont éclaté par amour, que ce soit l’amour d’une personne, ou l’amour de quelque chose d’autre, comme l’amour d’une activité. Mais l’amour est aussi synonyme d’un acte brutalement délicieux. Un acte de résonance entre deux personnes. Une violence inouïe et savoureuse, volontairement subie. Un plaisir incommensurable et une douceur inégalée.
    
    Lorsque ces deux corps entrent en symbiose parfaite, collés l’un à l’autre, de manière très intime et proche. Ce moment où deux lèvres posent leur sort sur celle d’un partenaire et que le désir se libère, que la fureur de l’amour montre sa vraie puissance et que le délice de la brutalité romantique détruit les barrières physiques. Ce moment où d’un simple baiser, une femme se tord de plaisir, que son âme disparaît et que son corps s’abandonne à un plaisir immédiat, durable et incroyablement intense.
    
    Des caresses intimes que l’homme offre à la femme en offrande à sa beauté. Goûtant à ses délices, il ne souhaite plus enlever son visage, de l’intimité féminine. Mais tel un guerrier revenu de guerre, un fauve enragé, il s’abandonne à ses pulsions primaires et remonte le long du corps exquis de sa partenaire. Lui déposant quelques baisers par ci et laissant sa langue traîner par là. Une remontée lente et intense, trop lente et brûlante, bien trop lente et la femme perd contrôle.
    
    Plus aucune règle, plus aucune loi, plus rien n’entoure les deux partenaires, seul le ...
    ... plaisir de l’autre compte et chacun redouble d’ardeur afin de combler son ou sa partenaire. Les ébats ne font que commencer, jeune et fougueux, les amants peuvent se battre amoureusement pendant des heures, sans jamais s’arrêter de ressentir un plaisir à travers une douce violence. Une violence douce, mais néanmoins brutale. Les os vibrent à l’intérieur des corps. Le plaisir tétanise le corps entier. Le désir unique de rendre l’autre exalté force une pression musculaire intense et un rythme effréné, entrecoupé de phase lente, douce, excitante et surtout de repos avant la prochaine vague.
    
    Un ballet horizontal, un opéra muet, quel spectacle plus délicieux que celui de deux amants, éperdument amoureux l’un de l’autre, qui ne souhaite que combler leur partenaire ! Le combat se prolonge, les deux combattants retrouvent et perdent successivement leurs forces, les renforts arrivent et le plaisir détruit toute fibre musculaire. Les caresses se font plus insistantes et le combat peut enfin commencer.
    
    L’homme montre toute sa puissance et devient bestialement doux. Il saisit sa partenaire par les hanches, lui montrant qui il est et ce qu’il veut. Sa partenaire se débat, un plaisir étrange que de vouloir échapper à son propre désir. Il la soulève, les mains toujours solidement plaquées sur ses hanches, et il se sert de ses attributs virils, doté dès la naissance tel un cadeau des dieux eux-mêmes. Il pénètre amoureusement, armé d’un désir incompressible, et se fait un devoir d’être le ...
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